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Stellantis: Fusion FCA-PSA |
Hoher29 | le mer 18 déc 2019 à 18:09
😂 |
Thierry123 | le mer 18 déc 2019 à 20:31
On ne sait toujours pas comment se nommera le nouveau groupe?? Hâte de connaître les lignes directrices pour chaque marques! |
ItalianDriver | le mer 18 déc 2019 à 20:47
Il reste encore une quinzaine de mois avant la réelle fusion... on a le temps. Le nom du nouveau groupe devrait être totalement différents de PSA ou FCA... il n’y aura peut-être plus de noms de marques dans le groupe... Je vois bien « Pentastar », penta pour les 5 continents et star pour l’étoile que sera ce groupe. |
fujiyama | le mer 18 déc 2019 à 20:49
J'en connais un qui va dormir sur la béquille cette nuit |
Thierry123 | le mer 18 déc 2019 à 20:50
@supremerpc? |
fujiyama | le mer 18 déc 2019 à 20:51
Nan, nan, le précédent. |
Thierry123 | le mer 18 déc 2019 à 20:51
|
ItalianDriver | le mer 18 déc 2019 à 20:59
Bof, c’est pour les PSA man que c’est plus bandant, avec enfin de vraies marques dans le groupe et du sport, jusqu’à 800ch... voir 1000ch chez Mopar... Dernière édition le 18/12/2019 à 21:43 par ItalianDriver, édité 1 fois |
carpe.diem | le mer 18 déc 2019 à 21:00
Tu m'étonnes, ils doivent sastiquer Comme des bœufs avec ces 6 voitures vendeurs à 16000 kilomètres |
ItalianDriver | le jeu 19 déc 2019 à 11:07
https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/automobile/fiat-psa-la-naissance-imparfaite-d-un-geant-mondial-de-l-automobile-835711.html (Fiat-PSA: la naissance imparfaite d’un géant mondial de l'automobile) A la fin, Exor sera actionnaire de référence avec 14.62%, contre 6.27% à Peugeot et 6.27% à BPi. Et si on fait le compte des actions, les exFCA auront 50.44% des actions, contre 49.56% pour les exPSA, dans la NewCo, cela dit, c'est relatif car FCA et PSA n'existeront plus, mai sce sont bien les Agnelli qui sont gagnants, et aussi les Peugeot, qui avec leur droit de racheter 2.5% (surement à BPi qui a le droit de vendre 2.5% CQFD...), aura au final 8.77% des parts dans la NewCo en étant seul 2e actionnaire du groupe. Et BPi devrait perdre son siège au conseil avec ces 2.5% en moins, siège qui devrait revenir à Peugeot. Ainsi les 2 familles auront 2 sieges au conseil et n'auront plus le gvt Francais dans les pattes (souhait de Peugeot... et des Agnelli). |
gpxpn | le jeu 19 déc 2019 à 11:11
Ce ne sont meme plus des groupes automobiles mais des consortiums financiers |
Avantime75 | le jeu 19 déc 2019 à 11:21
Oui, c'est un peu ce qui est triste là-dedans... La passion (au sens amour de l'automobile, pas forcément de l'automobile d'exception) en prend un coup... Je me demande comment cet ogre financier va apprivoiser ce nombre important de marques et à quel point il saura respecter leurs identités (on a vu ce que ça a donné chez GM...). |
ItalianDriver | le jeu 19 déc 2019 à 11:21
Exor et FFP sont des consortiums. Mais la nouvelle entité sera bel et bien un groupe automobile, encore plus centré sur l’auto que ne l’étaient FCA et PSA. |
ctncrsp | le jeu 19 déc 2019 à 11:36
Comment tu veux prendre des décisions industrielles dans un groupe où les pouvoirs sont aussi morcelés, ça va être du game of throne |
Avantime75 | le jeu 19 déc 2019 à 11:38
Encore plus centré sur l'auto? Je demande à la fois comment et surtout pourquoi? |
ItalianDriver | le jeu 19 déc 2019 à 11:40
FCA et PSA étaient des groupes comprenants d’autres entités comme Faurecia ou Marelli, etc... Alors que la nouvelle entité sera 100% automotive (après la vente de Comau). |
Avantime75 | le jeu 19 déc 2019 à 11:46
Ah ok... Dans ce sens-là... C'est quand même dans le secteur... Je ne comprenais pas trop ton propos autrement... J'espère quand même que le côté très (trop) "actionnaires" sera un peu plus nuancé qu'actuellement... |
ctncrsp | le jeu 19 déc 2019 à 11:47
Est ce que Peugeot continuera à faire des ustensiles de cuisine ? |
weber-dc40 | le jeu 19 déc 2019 à 12:05
Le groupe s'appellera lancia-Citroën SA. |
Avantime75 | le jeu 19 déc 2019 à 12:07
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ctncrsp | le jeu 19 déc 2019 à 12:43
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cagivavite | le jeu 19 déc 2019 à 20:46
https://youtu.be/8cvcu3WbVrc (🚗 FUSION PSA FCA 💵 QUI VA PAYER L'ADDITION ? - YouTube) YouTube 37:43 FUSION PSA FCA 💵 QUI VA PAYER L'ADDITION ? |
ItalianDriver | le jeu 19 déc 2019 à 20:48
37 min... next... |
clionrj | le jeu 19 déc 2019 à 20:59
C'est prévu combien de temps cette fusion |
ctncrsp | le jeu 19 déc 2019 à 22:51
Comme un mariage, jusqu'à ce qu'ils décident de divorcer puis où iront les enfants |
ItalianDriver | le ven 20 déc 2019 à 08:09
Au bout de 7 ans, avec les votes doubles, les Agnelli et les Peugeot devraient opter pour un pacte parasocial, visant à leur donner un total de 38% des votes (~24.% Exor et ~14% Peugeot) pour controler le conseil d'administration, comme le fait deja Exor avec la famille Ferrari. |
ItalianDriver | le ven 20 déc 2019 à 08:34
J’ai regardé la vidéo de POA, c’est que des conneries, les mecs sont forts quand même... |
bobal | le ven 20 déc 2019 à 09:06
Et Dieu sait que ça te connaît |
ItalianDriver | le ven 20 déc 2019 à 09:06
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Avantime75 | le ven 20 déc 2019 à 09:19
En même temps, pas un article ou reportage sur le sujet n'a été qualifié d'autre chose par toi! On attend tous avec impatience ton livre "Comment Fiat a sauvé Peugeot, la France et le monde". Dernière édition le 20/12/2019 à 09:20 par Avantime75, édité 1 fois |
Avantime75 | le ven 20 déc 2019 à 09:21
Trêve de plaisanterie, j'ai hâte de voir quelle stratégie sera mise au point pour quelques unes des marques du nouvel ensemble... |
carpe.diem | le ven 20 déc 2019 à 09:33
Lancia va rebadger des c3 cactus |
ItalianDriver | le ven 20 déc 2019 à 09:41
en même temps, tout ce qui s'est dit a bien été démonté par l'accord... Il n'y a que DS, Lancia et Vauxhall qui sont potentiellement en danger. |
Avantime75 | le ven 20 déc 2019 à 09:47
Au pire Vauxhall deviendrait Opel, mais je ne crois pas... Ca ne coûte pas bien cher de changer un logo... Il n'y aura plus de Vauxhall exotiques venues d'Australie (et pour cause(s) ) mais je ne vois pas pourquoi la marque disparaîtrait totalement. DS, c'est beaucoup trop tôt pour parler de disparition... Ca n'aurait aucun sens. Lancia... C'est peut-être celui pour lequel je serais le plus inquiet dans l'immédiat (pas de projets, un seul modèle ancien vendu dans un seul pays...) et dans une certaine mesure Chrysler... Mais bon, on verra bien au fil des annonces. Les projets ne prendront forme qu'une fois l'accord scellé. |
xu19tdi | le ven 20 déc 2019 à 09:48
Lancia est déjà mort non? comment peut-on encore croire que la marque va revivre? |
carpe.diem | le ven 20 déc 2019 à 09:51
Ya du potentiel. Lancia, c'est comme Alfa. Ça ne vaut objectivement rien, mais ya cette aura folle. La 156, personne n'y croyait. La Giulia, elle est sortie de nulle part. On peut reprocher plein de choses aux ritaliens, mais ils ont cette incroyable capacité à pouvoir sortir un truc des cendres presque froides. |
xu19tdi | le ven 20 déc 2019 à 09:52
ce serait inespéré! |
carpe.diem | le ven 20 déc 2019 à 09:53
Peugeot a tiré opel de sa torpeur en 18 mois. Ce sera forcément différent pour Lancia, mais j'ai envie d'y croire |
Avantime75 | le ven 20 déc 2019 à 09:58
Je suis assez d'accord avec vous! En revanche, la difficulté de Lancia par rapport à Alfa, c'est le réseau qui a disparu en Europe... Bon, ceci dit, vu le réseau actuel Fiat/Alfa, il peut y être greffé, mais c'est quand même à ne pas oublier... Je serai ravi que la marque renaisse de ses cendres en revanche! |
xu19tdi | le ven 20 déc 2019 à 09:58
ce serait fabuleux et plus passionnant |
thedelph | le ven 20 déc 2019 à 10:54
La qualité produit des dernières Alfa est indéniable le problème est qu'ils n'en vendent pas (sauf le Stelvio qu'on croise qd même pas mal...). Des produits top, c'est bien, des produits top qui se vendent, ce serait mieux... Qd on voit comment Peugeot refourgue des 3008/308 a tour de bras, ce serait du bon cash pour soutenir des marques un peu plus "exotiques" |
Avantime75 | le ven 20 déc 2019 à 11:12
Article dans les Echos ce matin : Les Peugeot, qui furent parmi les inventeurs de l'automobile mondiale avec Daimler et Renault, sont toujours aux avant-postes en Europe, plus que jamais leur marché naturel. Depuis le début de 2019 (janvier à novembre) la marque au lion, de loin la première des cinq blasons du groupe PSA, reste la quatrième marque sur la scène européenne. Elle joue surtout actuellement une partie importante, avec le double renouvellement de ses modèles 208 et 2008. Précédemment, la firme sochalienne avait remporté une partie décisive, avec le succès de son SUV 3008 aux lignes audacieuses et tranchées. Sur le Vieux continent, les ventes de la marque reculent pour l'instant de 3,2 % cette année, mais l'entreprise plaide que son portefeuille de commandes progresse. En revanche, les ventes mondiales sont en recul de 17,8 %, toujours sur onze mois, car Peugeot affronte des vents contraires avec l'arrêt des ventes en Iran depuis mai 2018, et la chute de plusieurs marchés internationaux importants dont la Chine, l'Argentine et la Turquie. L'électrification de sa gamme progresse vite avec les nouvelles 208 et 2008 en version 100 % électriques, et les déclinaisons hybrides rechargeables de la grande berline 508 et du SUV 3008. · Fiat attend sa relance Le vaisseau amiral du groupe FCA est en perte de vitesse, l'avenir ayant été insuffisamment préparé durant la décennie 2010. « L'absence flagrante d'investissements durant l'ère de Sergio Marchionne (le précédent PDG, décédé en 2018, NDLR) a été dramatique pour la marque Fiat », pointait dans une note le mois dernier le cabinet spécialisé Inovev. Les consultants estiment que l'actuelle gamme de véhicules est « à la fois très incomplète et incohérente », et qu'« elle devra être totalement révisée sous l'égide de PSA ». Sur les 11 premiers mois de l'année, les ventes ont reculé de plus de 9 % en Europe, et reposent pour près de la moitié sur l'emblématique Fiat 500 et ses nombreuses déclinaisons. Par ailleurs, un gros retard a été pris par rapport aux concurrents pour le passage à l'électrique. La fusion avec PSA va permettre à Fiat de regagner le terrain perdu dans ce domaine, et de bénéficier des plates-formes de son partenaire, plus moderne que les siennes. Les synergies attendues de la fusion devraient permettre baisser les coûts de production et de regonfler les marges. La bonne articulation avec les autres marques du groupe sera cruciale pour réduire autant que possible la cannibalisation, notamment sur le segment des citadines polyvalentes, le coeur du marché européen, sur lequel PSA est également très présent. · Opel, la vitrine de Carlos Tavares Rachetée à General Motors en août 2017, la marque à l'éclair devrait continuer à bénéficier d'une attention bienveillante de la part de Carlos Tavares. Et pour cause : avec Opel, le patron de PSA a parfait sa réputation de redresseur d'entreprise hors pair, ce qui l'a imposé dans l'esprit des actionnaires de FCA pour prendre les rênes du futur ensemble après la fusion. La démonstration a il est vrai été spectaculaire : après 18 années consécutives de pertes dans le giron de GM, Opel est repassé dans le vert dès sa première année chez PSA, affichant une marge opérationnelle de 4,7 % en 2018. Autre fait d'armes : la sixième génération de la Corsa, présentée cet automne, a été développée en s'appuyant sur une plate-forme du groupe PSA en deux ans, soit deux fois moins que les standards de l'industrie. Carlos Tavares l'a rappelé mercredi, avançant que cette agilité et cette vitesse d'exécution pourraient être transposées Chez Fiat-Chrysler. Mais après être revenu dans le vert en réduisant ses coûts, Opel s'attaque désormais à un autre chantier, celui de la relance des ventes, qui continuent de s'éroder (-6 % en Europe depuis le début de l'année). C'est la mission de la nouvelle Corsa, best-seller de la marque avec 13,6 millions de voitures vendues en un peu moins de 40 ans. · Jeep, porté par le boom des SUV Marque emblématique, Jeep est quasiment devenu un nom générique synonyme de 4-4. Lancée sur les routes par les militaires américains au cours de la Seconde Guerre mondiale, la petite voiture rudimentaire qui devait passer partout a depuis pris du volume et gagné en confort. Portée par le boom du SUV, la marque Jeep a vu ses ventes passer de 338.000 unités en 2009 à plus de 1,6 million dix ans plus tard. Pour progresser, Jeep a élargi ses gammes, proposant à la fois des petits 4-4 visant une clientèle plutôt jeune (Wrangler) comme de gros SUV plus statutaires (Cherokee). Parmi ses points forts, sa présence industrielle sa reconnaissance en Chine, premier marché automobile de la planète. Mais Jeep est loin d'être en position de monopole et la marque pourrait souffrir si les consommateurs ou les Etats s'en prennent à ses véhicules souvent plus polluants que les petites citadines. Disposer d'une telle marque pour le nouvel ensemble sera un véritable avantage, car cela devrait lui permettre de dégager des économies d'échelles dans le cadre de développement de plates-formes qui pourront être utilisées aussi bien pour proposer des 4-4 sous d'autres marques, que des véhicules utilitaires. L'an dernier, les ventes de Jeep ont progressé de 14 %. La marque a appartenu à Renault dans les années 70-80 qui avait fait l'acquisition d'American Motors Corporation. · Alfa Romeo, la dernière chance Fondée en 1910, la marque haut de gamme dispose d'une aura incontestable chez les amateurs d'automobile. Mais elle est sur la mauvaise pente : elle perd de l'argent avec constance depuis près de 20 ans, et les trois tentatives de relance de Fiat qui a racheté le constructeur en 1986, ont échoué. La petite Mito (dont le nom a suscité beaucoup de moqueries en France) n'a pas réussi à s'imposer et a été retirée du marché. Depuis, la gamme se réduit grosse modo à trois modèles : la Giulietta, la Giulia et le SUV Stelvio. Comme chez Fiat, le besoin de renouvellement est patent, tout comme le retard en matière d'électrification. Ces handicaps pèsent sur les ventes : elles ont reculé de 37 % sur les 11 premiers mois de l'année par 2018 en Europe, avec moins de 50.000 véhicules vendus, ce qui représente 0,3 % de parts de marché. Dans ce contexte, la fusion offre à Alfa Romeo une ultime opportunité de sortir de l'ornière. Fan de courses automobile, Carlos Tavares est sans doute très sensible au patrimoine de la marque, et pourrait décider de réveiller la belle endormie. Mais selon certains observateurs, le risque d'empiéter sur le territoire de DS, l'autre marque premium du futur groupe, est réel, avec de possibles arbitrages douleurs à la clef. · Ram, la pépite Quasiment inconnu en Europe, Ram est la vraie pépite de la branche américaine de Fiat Chrysler. Ce qui n'était au départ qu'un simple modèle de chez Chrysler est devenu une marque à part entière en 2009 spécialisée sur les pick-up, ces énormes véhicules offrant à la fois une cabine et un plateau arrière. Segment le plus important et le plus lucratif du marché nord-américain, le pick-up s'exporte peu mais remplit aussi les caisses de Ford et General Motors. Sur les côtes, les Américains roulent en Prius ou en BMW. mais dans le centre du pays, les agriculteurs et les artisans sont tous en pick-up. En 10 ans, « le bélier » est monté en gamme et a vu ses ventes bondir sur un marché en forte progression mais qui reste très sensible à la conjoncture économique. Chaque année il se vend désormais près de 3 millions de pick-up aux Etats-Unis contre un peu plus de 2 il y a dix ans. Ford vend le modèle le plus vendu de tous les véhicules aux Etats-Unis (le Ford F). General Motors avec ses marques GMC et Chevrolet fait jeu égal avec Ford. Mais Ram rivalise désormais avec le Silverado de Chevrolet pour le titre de deuxième véhicule le plus vendu sur le territoire américain. En montant en gamme, les pick-up ont aussi vu leurs prix monter. Même si Tesla a présenté un modèle de pick-up électrique et si les constructeurs japonais ont lancé de nombreux modèles, ce segment reste dominé par les constructeurs américains. David Barroux, Denis Fainsilber et Lionel Steinmann |
ctncrsp | le ven 20 déc 2019 à 11:37
N'importe quoi ! |
ItalianDriver | le ven 20 déc 2019 à 12:02
Les mecs croient vraiment que DS prendra la place d'Alfa Romeo ? Alors que PSA a payé 5.5 milliards entre autre pour cette marque... Ils réfléchissent quand ils écrivent ? Si ca ce sont des analystes, tu m'étonnes que le monde va plutôt mal. |
Ben_92 | le ven 20 déc 2019 à 12:04
du grand delire ! il ne parle pas de l'excellence operationnelle de FCA, ils ont les bureaux les mieux rangés de toute l'industre automobile, escroquerie intellectuelle que cet article |
Thierry123 | le ven 20 déc 2019 à 12:23
Carlos lui-même a dit que toutes les marques seraient maintenues 😓 |
ItalianDriver | le ven 20 déc 2019 à 12:30
Non mais c'est vrai que FCA est un groupe au bord du gouffre avec 4.800.000 millions de ventes et des records de résultats financiers avec une position strategique globale bien encré sur 4 des 5 continents... PSA qui vend 80% en Europe est le grand sauveur de FCA et n'avait surtout pas besoin d'alliance ! Ce sont 2 groupes en forme, FCA avait besoin de volumes et de marges en Europe (rien de mieux que PSA avec une rentabilite record), et PSA avait besoin de devenir "mondial", c'est ce qui est fait avec FCA, avec en plus des marques emblematiques comme Jeep et RAM (la aussi champions de la rentabilite) et des marques prestigieuses qui manquaient à PSA comme Alfa et Maserati. |
Avantime75 | le ven 20 déc 2019 à 13:11
Personne ne te dit que FCA est au bord du gouffre... On reconnaît les qualités de PSA, celles de FCA, les problèmes de chez PSA, mais aussi ceux de chez FCA. Ce dernier point semble de te faire mal mais c'est ainsi. Ca ne fait pas de FCA un vieux mammouth mourant, personne ne dit ça ici. Un peu de nuance ne nous mettrait pas forcément d'accord, mais ça rendrait ton discours plus crédible, d'autant plus que tu connais le sujet. |
ItalianDriver | le ven 20 déc 2019 à 13:23
Bof j’ai l’impression qu’on met bien plus en avant les lacunes de FCA que celles de PSA... |
Avantime75 | le ven 20 déc 2019 à 13:36
Je ne crois pas... Vraiment. Ce qu'on lit sur Citroën ou DS n'est pas folichon (et parfois exagéré je trouve). Opel ne jouit pas non plus d'une image incroyable. Je crois en plus que bon nombre d'entre nous qui chambrent un peu FCA, c'est au moins mon cas, le font justement parce que certaines marques du groupe mériteraient beaucoup mieux que cette gestion produits parfois rebutante. Quand je dis ça, je pense à Alfa et Lancia en particulier. Alfa fait de bons produits, vraiment. Il y a des ventes décevantes, mais j'ai un peu envie d'utiliser le même argument que pour DS. Si le produit n'est pas mauvais et que la satisfaction clients est bonne, il faut laisser le temps à la marque de se (re)faire une image lui permettant de vendre des autos à ces tarifs. De même, en face, je comprends (pour être aussi de ceux-là!) qu'on regrette la longue absence d'une vraie berline familiale chez Citroën avec une empreinte Citroën forte et je ne comprends pas qu'on puisse laisser une telle marque si longtemps sans une vraie compacte. J'y ajouterais que les prochaines berlines dont je parle seront sur des pf de catégorie inférieure à chaque fois et que j'ai du mal à en comprendre l'intérêt. Bref, pour être clair, je crois, comme je l'ai dit plusieurs fois ici que cette fusion aurait au moins l'intérêt de rassembler des constructeurs avec des solutions à leurs problématiques qui seraient complémentaires mais je n'occulte pas les défauts marqués des deux entités (Un PSA ultra européen et inégal dans sa relance produits avec un Peugeot fort et un Citroën ou un Opel encore un peu dans le flou et FCA peut-être un peu moins moderne et surtout avec un plan produits en suspend chez pas mal de ses marques) et leurs qualités. On verra ce que nous réserve l'avenir. Personne ne vole au secours de personne. Les deux avaient besoin d'un partenaire. Dernière édition le 20/12/2019 à 13:39 par Avantime75, édité 1 fois |
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