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| 18 messages 959 vues |
 Forum F1 2025 |
| Stiletoes1 |  le mer 6 nov à 23:31
La saison 2024 touchant à sa fin... bientôt place à 2025 :  Dernière édition le 06/11/2024 à 23:32 par Stiletoes1, édité 1 fois |
| Toniciano | le jeu 7 nov à 09:30
24 rounds ça pique quand même !! Pronostics ? |
| starter | le jeu 7 nov à 09:33
J'ai misé 1€ sur Ocon CDM et Gasly 2ème On verra bien  |
| SaluC1 | le jeu 7 nov à 10:18
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| ItalianDriver | le jeu 7 nov à 10:22
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| Brewery | le jeu 7 nov à 14:01
Parler de la F1 2025 en novembre c'est comme les téléfilms de Noël ça doit attendre. |
| olivier25000 | le jeu 7 nov à 15:18
Ca manque d'une manche en Afrique... un retour à Kyalami ça serait bien même si il est FIA grade 2  Va pour Norris CDM |
| Lbad | le jeu 7 nov à 20:04
https://motorsport.nextgen-auto.com/fr/formule-1/ferrari-annonce-l-arrivee-d-un-nouveau-sponsor-majeur-pour-l-ere-hamilton,195329.html (Formule 1 | Ferrari annonce l'arrivée d'un nouveau sponsor majeur pour l'ère Hamilton) |
| x4n4x | le jeu 7 nov à 20:08
Je vous épargne l'ouverture du lien (gavé de pub leur site) c'est IBM le sponsor |
| rafabenz | le jeu 7 nov à 21:37
merci insupportable ce site oui |
| Lbad | le lun 11 nov à 21:31
Vasseur : Hamilton ne vient pas chez Ferrari pour ’être en vacances’ "Des titres ensemble", c’est bien l’ambition par Franck Drui Le passage de Lewis Hamilton chez Ferrari ne sera pas "des vacances", a assuré Fred Vasseur. Le transfert du Britannique en début d’année prochaine permettra de réunir le pilote le plus titré de la Formule 1 avec l’équipe la plus titrée. Mais cela ne représente pas un chant du cygne de fin de carrière, selon le directeur de l’équipe Ferrari, interrogé au moment où les performances du septuple champion du monde face à George Russell posent question. Vasseur a déclaré à la Gazzetta à propos du recrutement de Hamilton que "ce n’était pas difficile, en fait." "Ferrari a toujours été dans ses pensées et maintenant les étoiles se sont alignées." "Mais il vient pour gagner, pas pour être en vacances. Et je suis convaincu que nous avons tout ce qu’il faut pour tenter notre chance d’avoir des titres ensemble." Hamilton formera un partenariat passionnant avec Charles Leclerc qui nourrit sa propre ambition de remporter des Grands Prix et des championnats. L’histoire de Leclerc avec le célèbre constructeur italien a commencé bien plus tôt que celle d’Hamilton. "Charles n’a jamais été arrogant, c’est quelqu’un qui travaille toujours dur. Parfois, il a même fait des erreurs, mais cela fait partie de son processus de croissance." "Nous n’avons pas encore convenu du vrai jour où nous nous sommes rencontrés, il dit une date mais je n’étais pas là ce jour-là. Notre relation est spéciale, si je fais une erreur, il me regarde et je sais ce qu’il veut dire." Leclerc confirme : "Il n’y a pas de filtre entre nous, même si en F1, il est plus difficile d’être ’honnête’, mais Frédéric me dit les choses en face, il est très doué pour me recentrer." Vasseur attend une bonne dynamique dans son nouveau duo, comme il le vit actuellement entre Leclerc et Carlos Sainz. "Je pense qu’il est essentiel d’avoir une bonne relation, pas seulement pour parler de sous-virage ou de quoi que ce soit d’autre lié à la course. C’est une passion et il est essentiel d’avoir un bon équilibre et un bon environnement autour de soi pour obtenir de bons résultats." "Je crois que Charles a cela. Tout comme je crois que la compétition entre les pilotes aide à faire grandir l’équipe. Et la compétition entre Carlos Sainz et Charles a été énorme dans ce sens." "Je m’attends à la même chose avec Lewis. Je le connais bien et je ne vois pas d’incompatibilité entre eux." |
| Lbad | le lun 11 nov à 21:32
Ferrari dans une situation ’gagnant-gagnant’ avec Hamilton et Leclerc ? C’est l’avis de Smedley au sujet de leur future lutte Par Emmanuel Touzot Rob Smedley, ancien ingénieur de Felipe Massa chez Ferrari, ne s’attend pas à voir Lewis Hamilton arriver en vainqueur au sein de la Scuderia l’an prochain. Le Britannique pense que l’actuel pensionnaire Mercedes F1 saura faire preuve d’humilité. "Je ne pense pas que Lewis arrivera avec cette attitude. Je pense que Lewis est un vrai professionnel" a expliqué Smedley dans le podcast Formula for Success. "Il sait à quel point Charles est bon, mais il se donnera les moyens de le battre sur 24 courses." "Je pense qu’il le battra. Je pense qu’il y aura un moment où il ne pourra plus le faire, mais ce n’est certainement pas maintenant. Le gars est tellement en forme, il est tellement fort mentalement quand il est motivé." "Je ne veux pas parler d’un manque de motivation, parce que ce serait manquer de respect au gars, mais je pense que nous avons vu, de temps en temps, une certaine frustration qui se manifeste dans le fait qu’il n’est pas en mesure de livrer à 10 dixièmes comme il l’a fait dans le passé." "Mais il n’y a aucun doute sur la passion de ce type et sur sa volonté de gagner. Regardez sa réaction après le Grand Prix de Grande-Bretagne cette année, cela vous dit tout ce que vous avez besoin de savoir, n’est-ce pas ?" "C’est un gars qui n’a pas gagné depuis des années, et puis il revient et il gagne, c’était une masterclass pour Lewis Hamilton, sept fois champion du monde, sur la façon de gagner une course. Une conduite très impressionnante. Vous avez vu la passion à la fin, vous avez vu l’émotion." "Ce type veut gagner et, comme toute personne qui a réussi dans la vie, il y a aussi une certaine dose d’humilité qui fait que l’on se demande quoi faire mieux. Je ne pense donc pas que Lewis ira chez Ferrari en pensant qu’il sera capable de battre Charles, parce que je ne suis pas sûr qu’il puisse le faire." Face à Smedley, David Coulthard a expliqué qu’il a confiance en la capacité de Hamilton s’aller chercher des victoires rapidement : "Je pense que Charles sera, en moyenne, plus rapide." "Mais je pense qu’il y a une réelle chance que Lewis remporte davantage de victoires jusqu’à ce que Charles soit le produit final d’un champion du monde et qu’il devienne cet homme qui commence soudainement à réaliser ce genre de performances, année après année." "Des performances que nous avons vues chez Lewis ou Michael [Schumacher] ou Ayrton [Senna], ou quel que soit votre pilote favori. Ou bien il sera ce que l’on considère comme celui qui n’y est pas, rapide, brillant à regarder en qualifications, mais commettant trop d’erreurs." Selon Smedley, c’est Ferrari qui bénéficiera de cette bataille : "Il y a aussi un autre point dans cette trajectoire chronologique, qui est physiologique. C’est quand Lewis commencera à ralentir un peu. Et quand ce sera le cas, nous ne le savons pas - ce n’est certainement pas dans l’année ou les deux prochaines années." "Parce que si vous regardez à quel point il est fort psychologiquement, à quel point il est motivé, à quel point il est en forme physiquement, ce n’est pas pour tout de suite. Mais n’est-ce pas aussi une situation gagnant-gagnant pour Ferrari ?" "Je ne veux pas l’appeler jeune apprenti, mais il ressentira une dynamique très différente et une relation très différente de celle qu’il a ressentie avec Carlos Sainz, par exemple, où ils étaient deux pairs, tous deux au même stade de leur carrière, ou à des stades très similaires de leur carrière, et tous deux avaient besoin de se battre l’un l’autre." "Charles a un peu de marge ici, n’est-ce pas ? Il affronte un septuple champion du monde. C’est une situation complètement différente, mais c’est comme Felipe Massa en 2006 contre Michael Schumacher." "Il était l’apprenti, et il était normal qu’il soit battu par Michael, puis, à la fin de l’année, il le battait au mérite en qualifications - pas en courses, mais il l’a battu dans certaines courses par hasard." "Je pense que nous sommes dans une situation similaire avec Charles. Si Charles n’est pas celui qui s’échappe, c’est une situation gagnant-gagnant, n’est-ce pas ? Vous avez ce septuple champion du monde, un gars qui peut apprendre de lui et éventuellement devenir lui-même un vrai champion." "À ce stade, Lewis est prêt à prendre sa retraite et à sortir par la gauche, et maintenant vous avez ce champion du monde complètement formé qui va être une machine à gagner." |
| Lbad | le lun 11 nov à 21:32
https://fr.motorsport.com/f1/news/williams-compromettre-2025-investir-2026/10661665/ (Williams va "compromettre" 2025 pour investir sur 2026) |
| Lbad | le jeu 14 nov à 07:43
La cinquième réunion de la Commission F1 en 2024 s’est tenue aujourd’hui dans les bureaux de la FIA à Genève, en Suisse, sous la présidence de Nikolas Tombazis, directeur de la catégorie monoplace de la FIA, et de Stefano Domenicali, président-directeur général de la Formule 1. La FIA a communiqué les points à noter ci-dessous. — La commission a approuvé une série de modifications techniques pour la saison 2025, notamment l’introduction d’un kit de refroidissement pour le pilote lorsqu’un risque de chaleur est déclaré à la suite de résultats de tests encourageants. — S’appuyant sur les discussions suscitées par le récent Grand Prix de São Paulo, la Commission a confirmé un protocole révisé pour la compression de la grille lorsqu’une équipe retire une voiture. — L’initiative de course sprint pour les débutants a également été réexaminée. La commission reste intéressée par le concept et l’examinera plus en détail en 2025 dans le but d’organiser une course sprint pour les débutants en 2026. — La Commission a approuvé d’autres mesures visant à étendre l’exclusion des coûts des initiatives de durabilité du règlement financier pour 2025. Règlement 2026 Le processus de rédaction du règlement pour 2026 a considérablement progressé. La section A, conçue pour établir un cadre cohérent pour toutes les sections suivantes, devrait être présentée lors de la première réunion du Conseil mondial du sport automobile (CMSA) en 2025. Dans la section B, les révisions du Règlement sportif intégreront un langage neutre en termes de genre, soulignant l’engagement de la FIA en faveur de l’inclusion à tous les niveaux. La commission a été informée des progrès réalisés avec les équipes et le Règlement technique (section C) devrait être finalisé à temps pour le prochain CMSA. Les objectifs généraux en termes de niveau de performance de départ devraient être atteints. En ce qui concerne le Règlement financier (section D), des mesures visant à renforcer les dispositions de confidentialité lors des enquêtes et d’autres questions de procédure ont été discutées. https://motorsport.nextgen-auto.com/fr/formule-1/commission-f1-quelques-changements-pour-2025-les-regles-2026-se-finalisent,195437.html (Formule 1 | Commission F1 : Quelques changements pour 2025, les règles 2026 se finalisent) |
| Lbad | le jeu 14 nov à 07:46
https://fr.motorsport.com/f1/news/livrees-f1-2025-presentation-commune/10672349/ (Les livrées F1 2025 seront toutes présentées en même temps) |
| Lbad | le lun 18 nov à 12:20
Ferrari est la première équipe de F1 à annoncer qu’elle organisera toujours un lancement de voiture traditionnel pour 2025, à part. La Formule 1 a récemment annoncé que tous les pilotes et les patrons seront présents à l’O2 Arena de Londres en février prochain pour le tout premier lancement conjoint de la saison, impliquant la révélation des livrées 2025 de toutes les équipes. Certains l’appellent « F175 », marquant le 75e anniversaire de la discipline - et il est déjà complet. La Formule 1 fait pression pour un lancement conjoint de la saison depuis quelques années, mais a reçu l’opposition des équipes qui préfèrent des révélations de livrées et des lancements de voitures individuels, pour des raisons évidentes de sponsoring et de marketing. Le compromis est le lancement conjoint à l’O2, où la plupart des équipes se contenteront d’amener des voitures d’exposition arborant leurs livrées 2025 - bien que des rumeurs circulent selon lesquelles certaines équipes pourraient effectivement amener leurs nouvelles voitures. Ferrari, cependant, est la première à admettre qu’elle fera son propre lancement. La date du lancement de Ferrari n’est pas encore connue mais on peut supposer que cela se fera après le 18 février. https://motorsport.nextgen-auto.com/fr/formule-1/ferrari-organisera-son-propre-lancement-de-sa-f1-de-2025,195514.html (Formule 1 | Ferrari organisera son propre lancement de sa F1 de 2025) |
| starter | le lun 18 nov à 12:29
Ils ont craqué le budget pour Hamilton, c’est pas cette année qu’ils vont se laisser séduire par une grande kermesse de présentation groupée pour partager le budget champagne et petits fours |
| lbad | le mar 26 nov à 22:01
https://fr.motorsport.com/f1/news/red-bull-pas-confiant-2025-malgre-titre-verstappen/10676604/ (Red Bull "pas confiant" pour 2025, malgré le titre de Verstappen ) Red Bull "pas confiant" pour 2025, malgré le titre de Verstappen Lors du Grand Prix de Las Vegas, Max Verstappen a remporté son quatrième titre de champion du monde consécutif. Malgré un nouveau succès, Red Bull a admis qu'elle n'était pas très optimiste pour la saison prochaine. A Las Vegas, Max Verstappen a mis fin au suspense... qui n'en était plus vraiment un après le succès du Néerlandais lors du Grand Prix de São Paulo : Le pilote Red Bull s'est vu couronné pour la quatrième fois d'affilée après une saison remplie d'incertitudes. Après un début d'année dans la continuité de 2023, Verstappen remportant sept des dix premières manches, Red Bull a dû faire face à la montée en puissance de plusieurs écuries, McLaren en tête, suivie de Ferrari et Mercedes. Une situation qui a permis de mettre en lumière les difficultés de l'écurie autrichienne, qui étaient jusque là, camouflés par la différence de performance avec les autres équipes. La saison de Max Verstappen a notamment été marquée par une série de dix Grands Prix sans succès, laissant le champ libre à McLaren et Lando Norris pour revenir dans la course aux deux championnats pilotes et constructeurs. Mais tandis qu'une course grandiose au Brésil lui a permis de conserver son titre pilote, scellé à Las Vegas, le titre constructeur pour Red Bull semble définitivement hors de portée, la bataille se jouant désormais entre McLaren et Ferrari. Les Meilleures Vidéos C'est exactement ce dernier point qui inquiète l'écurie autrichienne pour la saison prochaine. Forte d'un très bon début de saison qui lui a permis de remporter un nouveau titre pilote, l'actuel classement des constructeurs montre que Red Bull n'est plus l'équipe qui surdominait le plateau ces dernières années, les performances médiocres de Sergio Pérez étant le meilleur exemple. Pierre Waché, directeur technique de Red Bull, s'est lui-même montré pessimiste quant aux chances du Taureau rouge pour 2025. "Je pense que nous sommes satisfaits de ce que nous avons fait rapidement. Mais je ne suis pas confiant pour l'année 2025. Je ne suis pas confiant parce que je pense que les autres sont très rapides ou sont déjà là. Il faudra se battre toute l'année. Si vous êtes trop en confiance dans ce sport, vous êtes mort. Il faut travailler dur, et tout le monde doit travailler dur dans l'équipe. Tout le monde travaille dur." "Quand vous voyez le nombre de personnes que nous avons pour essayer de trouver une toute petite quantité de performance, c'est une tâche très difficile. Je manque de confiance, car si on a trop confiance, on se repose sur ses lauriers, on ne va pas travailler, et alors on ne trouve pas de performance." Une domination inattendue en début de saison Après une saison 2021 au bout du suspense face à Mercedes et Lewis Hamilton, Red Bull s'est construit une domination au début de l'ère des monoplaces à effet de sol. Écrasant la concurrence lors des saisons 2022 et 2023, Red Bull ne s'attendait pas à une telle hégémonie. Elle ne pensait pas avoir trouvé la formule magique et voyait ses rivaux bien plus proches. "Ce qui s'est passé cette année en termes de lutte est ce que nous attendions en 2023, pour être honnête", a déclaré Pierre Waché. "En 2022, nous n'avons pas commencé la saison avec la voiture la plus rapide car le départ de Ferrari [était fort]. Nous nous attendions donc à une bagarre en 2023, mais elle n'a pas eu lieu. Et cette année, dès le début de la saison, cela ne s'est pas produit non plus ! Je ne peux pas l'expliquer." Max Verstappen, Red Bull Racing RB20 "Ce n'est pas comme si nous avions fait un meilleur travail. C'est plutôt que les autres n'ont pas bien travaillé à certaines périodes. McLaren a commencé tard cette saison. Et ce n'est pas notre faute. La voiture n'était pas très différente. En termes absolus, elle reste la même. Mais nous devons améliorer les performances de la voiture, parce que les autres sont plus rapides." Le déclic de Monza Au retour de la trêve estivale, les problèmes de Red Bull se sont accentués, Monza ayant constitué l'apogée de ces derniers. Le directeur technique de l'écurie autrichienne pense qu'il s'agit du moment clé de la saison, qui a permis d'obtenir les réponses que Red Bull cherchait suite au manque de rythme de la RB20 dans des conditions de faible appui. "Je pense que Monza a été un point clé et une prise de conscience pour nous", a-t-il déclaré. "Cela a mis en évidence des problèmes sur la voiture que nous n'avions pas vus auparavant... ou que nous avions vus, mais que nous soupçonnions et devinions." "Ce qui est impressionnant, c'est plutôt la façon dont l'équipe a réagi pour résoudre ce problème et pour le réduire. Et à Austin, nous avons déjà apporté quelque chose. Et je pense que même Max a dit que la voiture s'est mieux comportée." Sergio Perez, Red Bull Racing RB20 L'un des principaux objectifs pour Red Bull la saison prochaine est de concevoir une monoplace plus polyvalente sur l'ensemble des tracés de la saison, selon Pierre Waché. Interrogé sur l'objectif pour 2025, il a déclaré : "Clairement, avoir une bonne voiture sur plusieurs types de circuits. Je pense que sur ce type de circuit [comme à Vegas], nous ne sommes pas bons. L'un de nos objectifs est donc d'améliorer la vitesse dans les sections lentes et en ligne droite." Cette saison, les ailerons ont été énormément mis en avant, que ce soit pour leur conception spécifique à chaque équipes, ou pour les différentes polémiques qui ont fait l'objet d'enquêtes, comme le "mini-DRS" de McLaren. Cette année, Red Bull a fait le choix de rester à l'écart d'une spécification à très faible appui qui l'a exposée à Monza et à Vegas cette année. Un choix à repenser, selon Pierre Waché. "Je pense que c'est quelque chose à laquelle il faut penser", a ajouté le directeur technique. "Peut-être que nous ne l'avons pas fait pour de multiples raisons, comme le budget et le temps. Quand vous faites l'aileron arrière, vous ne faites pas autre chose." "Il est clair que c'était peut-être une erreur. C'est quelque chose que nous devons évaluer. Nous devons trouver un aileron arrière qui soit meilleur que celui que nous avons. Ce n'est pas non plus une tâche facile, mais je pense qu'il est clair que c'est quelque chose que nous allons étudier, comme nous l'avons écarté cette année et l'année dernière." Avec Jonathan Noble et Ronald Vording |
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