C'est pas du fromage ni du chocolat mais c'est Suisse - Auto titre
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C'est pas du fromage ni du chocolat mais c'est Suisse
dudule le lun 6 oct 2003 à 21:42

Caterham_7 le lun 6 oct 2003 à 21:45
et ça laisse rêveur ! :D
dudule le lun 6 oct 2003 à 21:47
Quel formidable véhicule
Vmax : 22.5 km/h (précision suisse) :D
Eric le lun 6 oct 2003 à 21:48
Porsche



Lamborghini




et Honda.....


Caterham_7 le lun 6 oct 2003 à 21:49
mon futur garage !!! :love: :love:
fabala-x le lun 6 oct 2003 à 21:50
ohhhhhh des tdi :D :D



c par ou deja la porte??? :D :D
Caterham_7 le lun 6 oct 2003 à 21:54
là bas TOUT au fond ! :D :D
lesbellesauto le lun 25 oct 2021 à 17:54
Prototype Monteverdi;)



Prototype de Monteverdi avec la version civile, Saurer en a fabriqué 12 versions militaires pré-séries
Les Saurer F006 (également connu sous le nom de Saurer 288) et F007 étaient, en dehors des camions tout-terrain de l'armée suisse connus sous le nom de Saurer 6DM (6 tonnes) et Saurer 10DM (10 tonnes), les derniers modèles de véhicules de la société. . À la fin des années 1970, la conception F006 de Saurer à Arbon, en Suisse, était destinée à succéder à la Jeep de l'armée suisse. En outre, on espérait que le véhicule serait également acheté par les services d'incendie et deviendrait des véhicules de travail pour les structures communautaires, telles que les opérations d'entretien des routes, les gardes forestiers, les services publics d'électricité et d'eau, etc. Vendre à des utilisateurs privés (comme la Mercedes G) n'a pas été abordé, mais cela aurait été probable. La raison en était que Monteverdi, le constructeur automobile de luxe, avait exposé au Salon de l'automobile de Genève 1979 la version civile du véhicule militaire Saurer F006 qu'ils appelaient le 260Z. C'était le 230e basé sur la conception militaire. Le 260Z n'a pas été produit, mais ils ont créé trois prototypes, qui sont répertoriés au musée Monteverdi de Binningen. Bien que Monteverdi n'ait pas utilisé le châssis Saurer, ils ont produit deux versions d'un véhicule SUV de luxe appelé Safari/Sahara, basé sur le véhicule International Harvester Scout, donnant foi à l'idée que si le F006 avait été en production, une version civile aurait émergé.

https://thereaderwiki.com/en/Nutzfahrzeuggesellschaft_Arbon_%26_Wetzikon (Saurer wiki | TheReaderWiki)

;) ;)
Fred le lun 25 oct 2021 à 18:21
C'est surtout ça qu'on attend....

Carpe.diem le lun 25 oct 2021 à 18:22
C’est ziglou ?
lesbellesauto le lun 25 oct 2021 à 19:48
Citation de Fred :
« C'est surtout ça qu'on attend....

»


@Fred

Maintenant peut-être mais il y a 40 ans les choses étaient différentes ;)
Fred le mar 26 oct 2021 à 03:11
[/citation]

@Fred

Maintenant peut-être mais il y a 40 ans les choses étaient différentes ;) »
[/citation]

@lesbellesauto je crois qu'on s'est mal compris. On parle de voiture suisse. C'en est une. Piëch GT, marque fondée par Anton Piëch qui est le fils de Ferdinand Piëch et donc l'arrière-petit-fils de Ferdinand Porsche. 600cv, 75KWH de batterie, 500 km WLTP et recharge 0-80% en 8 minutes.
lesbellesauto le mar 26 oct 2021 à 07:20
Bonjour à tous ;)



Monteverdi high speed lors du rallye Enghien-le Touquet 2018 :love:

....
........

Bonne journée à tous ;)
lesbellesauto le jeu 28 oct 2021 à 08:06
Bonjour à tous ;)

Encore une "Monteverdi" cette fois-ci à Bruxelles



....

Bonne journée à tous

;) ;)
lesbellesauto le lun 1 nov 2021 à 00:19
Une rétrospective Monteverdi au salon de Genève 2017

(Publié le 14 mars 2017 - Crédit photo : Adrien Cortesi )

Afin de célébrer les 50 ans de la marque, le club Monteverdi présente à Genève six véhicules, ayant marqué l'histoire de l'un des plus grands constructeurs automobiles suisses.

Peu connu du grand public, Monteverdi demeure pourtant le dernier constructeur suisse, à avoir produit des voitures « made in Switzerland ». A la base importateur de la marque Ferrari en Suisse, Peter Monteverdi se décide à créer ses propres autos en 1967, avec pour objectif d’associer « le confort d’une Rolls-Royce au côté sportif d’une Ferrari ».
Parmi les six voitures présentées au salon de Genève, trois font partie de la première série d’autos produite par Monteverdi, baptisée High Speed. La 375 S et 375 L sont des coupés carrossés par Frua et Fissore, tandis que la 375 C est un cabriolet. On retrouve dans le dessin de ces autos, produites de 1967 à 1972, des références évidentes telle la Jensen Interceptor pour la partie avant ou les Maserati Ghibli et Indy, voire Lamborghini Islero pour l’arrière.
Le moteur embarqué par les High Speed est un V8 Chrysler 7.2 et les performances annoncées étaient exceptionnelles pour l’époque (0 à 100 km/h proche des 6 secondes).

Monteverdi 375 S

De la GT à moteur central au 4x4 luxueux


Monteverdi Hai 450 SS

La Monteverdi Hai 450 SS allait toutefois encore plus loin dans la sportivité, avec son architecture à moteur central, ce dernier étant avancé jusqu’entre les deux sièges. La silhouette pourrait ici rappeler une Ligier JS2 ou encore une Alpine A310. La voiture restera malgré tout à l’état de prototype, avec seulement deux exemplaires existants.


Le Safari de Monteverdi

Le Safari, créé en 1976, est quant à lui un 4x4 luxueux dont le concept et l’allure générale font indéniablement penser au premier Range Rover. Il demeure au final le véhicule le plus vendu par Monteverdi, avec plusieurs centaines d’exemplaires.

La Hai 650 F1 aurait pu être une supercar fabuleuse...

Enfin, l’auto la plus moderne du stand est la Hai 650 F1, dernière création de Peter Monteverdi, qui fut présentée en 1992. Cette supercar reprenait un châssis de F1 Onyx avec un moteur V8 Cosworth 3.5 développant près de 600 ch. Avec un poids inférieur à 900 kg, le potentiel promettait là encore d’être exceptionnel. Malheureusement, elle ne passa jamais le cap de la production.

375 C



375 S



375 L



https://www.largus.fr/geneve/une-retrospective-monteverdi-au-salon-de-geneve-2017-8450400-10386122-photos.html (Une rétrospective Monteverdi au salon de Genève 2017 - Photo #2 - L'argus)

;) ;)
lesbellesauto le lun 1 nov 2021 à 13:46
Bonjour à tous;)

Une Monteverdi au milieu des Ferrari

Vente Cornette de Saint Cyr en Belgique le 22 avril 2021.



Modèle qui épate par sa rareté, une Monteverdi 375L High Speed de 1969, affichant seulement 15 000 kilomètres. Equipé d’un moteur V8 d’origine Chrysler, cette voiture suisse doit son nom à son nombre de chevaux, 375. Elle a subit une reconstruction mécanique complète il y a une dizaine d’années, avant d’être repeinte dans son bleu clair d’origine en 2018. Elle est estimée entre 270 000 et 320 000 €.

https://classicandsportscar-magazine.fr/2021/04/22/une-monteverdi-au-milieu-des-ferrari/ (Une Monteverdi au milieu des Ferrari - Classic & Sports Car Magazine France)

;) ;)
turbo1980 le lun 1 nov 2021 à 14:59
J aime bien les Monteverdi :good:
lesbellesauto le ven 12 nov 2021 à 23:58
Bonsoir à tous ;)

Voici un article de la :


Monteverdi: Swiss made

Monteverdi est considéré comme le prochain «grand coup» dans le monde des oldtimers. Un engouement mérité.
Von Nicola Kohler - 23. Juni 2021



Ferrari. Pardon? Que vient faire ce nom dans un reportage dédié à Peter Monteverdi? Peu le savent, mais la firme de Maranello a joué un rôle décisif dans le destin de l’un des créateurs suisses d’automobiles les plus passionnants. Fils de garagiste, né le 7 juin 1934 à Binningen, Peter Monterverdi reprend le fonds de commerce de son père en 1954. En 1956, à 22 ans, il achète sa première Ferrari, une 250 MM à carrosserie Vignale (numéro de châssis #0334MM, numéro d’immatriculation BL 69). Un an plus tard, il devient le plus jeune concessionnaire Ferrari de la planète!

La première voiture que reçoit Monteverdi est une 500 TR (4-cylindres 2 litres, numéro de châssis #0638MDTR), qu’il ne veut pas vendre. Il préfère l’engager dans diverses courses durant l’année 1957. Après quelques bons résultats, il espère continuer sur cette lancée en 1958 avec une machine de course et le soutien de l’usine de Maranello. L’attente est d’autant plus légitime que Ferrari lui a décerné le titre de «meilleur pilote privé». Le directeur commercial Girolamo Gardini – un nom célèbre – lui impose de se concentrer sur son activité de vendeur. Monteverdi ne se plie que partiellement aux directives, jusqu’à ce jour de 1961 où il est victime d’un grave accident sur le circuit d’Hockenheim. Il ne met pas un terme à son activité de pilote, mais il cherche désormais d’autres marques pour son garage de Binningen, qui ne cesse de s’agrandir. BMW le rejoint, puis suivent Lancia, Bentley et même Jensen. A l’automne 1965, Monteverdi reçoit un courrier de Maranello, qui met subitement un terme au contrat qui le lie avec Ferrari. Fou de colère, l’écume aux lèvres, il décide en dix jours de devenir constructeur de voitures! Peter Monteverdi avait déjà conçu quelques véhicules au milieu des années 1960, notamment la Monteverdi Special sur base de Fiat Balilla, alors qu’il n’avait que 18 ans, et la Ferrari-Monteverdi 750 GT Berlinetta dérivée de la Ferrari 750 Monza (numéro de châssis 0486MM, un Spider de Scaglietti). Cette dernière n’avait d’ailleurs pas vraiment plu à Ferrari.

Au début des années 60, le Suisse a aussi développé quelques voitures de course sous le nom MBM Automobile, dont l’une d’entre elles aurait pu concourir en Formule 1. Lorsqu’il se retire dans sa maison de vacances de Merlischachen, au bord du lac des Quatre-Cantons, après la fin de son contrat avec Ferrari, il réalise les premiers dessins d’un Grand Tourisme. Un job fou pour ce mécanicien formé sur les camions Saurer à Arbon, et qui n’a aucune formation de designer. En 1966, il dévoile ses dessins et croquis de construction aux rédacteurs de la Revue Automobile. Ceux-ci sont séduits par les idées de Peter Monteverdi, mais ils lui conseillent de remplacer la marque MBM par son propre patronyme.

Un moteur aisément «gonflable»

Le projet de Peter Monteverdi n’a rien de révolutionnaire en soi. Toutefois, il s’agit d’une magnifique GT, basée sur un solide châssis en poutres carrés et propulsée par un fougueux V8 américain. Si le Suisse porte son choix sur un V8 Chrysler, ce n’est pas lié au fait qu’il importe la Jensen anglaise, elle aussi propulsée par des moteurs Mopar. Il les trouve d’ailleurs un peu faiblards… En revanche, il a déjà amélioré un V8 marin Chrysler pour son bateau Riva, ce qui lui vaut de bons contacts à Detroit. Monteverdi opte pour le 7,2-litres Magnum, qu’il souhaite proposer en deux versions: 375 S et 400 SS. Seule la 375 S voit le jour, avec carburateur Carter quadruple corps et taux de compression de 10:1, pour une puissance de 380 ch (à 4600 tr/min) en norme SAE. Pour obtenir l’équivalent DIN en vigueur en Europe, il faut déduire environ 30% de ce chiffre. Le passage des vitesses s’opère via une boîte manuelle à quatre rapports ou la célèbre boîte automatique à trois rapports Torque-Flite, toutes deux issues des rayonnages Mopar.

Comme c’est souvent le cas à l’époque, de nombreux composants sont fournis par des sous-traitants, à l’image des freins à disque Girling, de la direction ZF (assistée sur demande), du différentiel à glissement limité Salisbury ou des amortisseurs Koni. Il y a néanmoins beaucoup de savoir-faire maison dans cette GT, notamment au niveau de l’essieu arrière semi-rigide de type de-Dion, avec freins accolés au différentiel (inboard), ressorts hélicoïdaux, amortisseurs réglables et bras de guidage longitudinaux et transversaux.

Il ne manque alors que la carrosserie. Pour sa réalisation, Monteverdi contacte plusieurs carrossiers suisses, sans succès, car ils n’ont pas les compétences requises ou l’envie de se lancer dans le projet. Peter Monteverdi s’attache donc les services de Pietro Frua, mais la réussite de ce rapprochement reste opaque, de même que l’influence des dessins originaux sur le design final. Un fois l’accord conclu, la fabrication du châssis démarre chez Stahlbau, à Bâle. La structure roulante sort ensuite des ateliers Monteverdi à Binningen, puis part à Turin pour recevoir sa carrosserie chez Frua. Les voitures prêtes à être immatriculées reviennent finalement à Binningen, avec les caractéristiques suivantes: 4,56 mètres de long, 1,80 m de large, 1,23 m de haut, un empattement de 2,51 m et un poids à vide de 1688 kilos, dont 842 kilos sur l’essieu arrière pour une répartition quasi parfaite des masses.

Vedette à Francfort en 1967

Le 11 septembre 1967 à 23 heures, Peter Monteverdi lève un voile aux couleurs suisses sur la High Speed 375 S, dans son showroom. Dès le lendemain, la voiture est exposée sur le stand d’Auto Becker à l’IAA de Francfort, sur un petit podium où elle surplombe une Lamborghini Miura et une De Tomaso Mangusta. Le prototype rouge portant le numéro de châssis #1001 devient la vedette incontestable du salon, parmi plus de 400 voitures exposées, issues de 17 pays. Peter Monteverdi rejoint du jour au lendemain les grands noms de l’industrie automobile. Mais les choses se corsent: Auto Becker envisage de vendre une cinquantaine d’exemplaires à l’IAA, alors que l’entreprise suisse ne souhaite pas – ou ne peut pas – promettre des échéances de livraison précises. La demande reste donc modeste. La High Speed 375 S #1001 réapparaît dans d’autres salons avant de rejoindre, fin 1967, le parc de la Revue Automobile qui lui consacre un essai dans le numéro du 14 janvier 1968. Immatriculée au nom de Peter Monteverdi le 5 juin 1968 (numéro d’immatriculation BL 665), cet exemplaire est aujourd’hui exposé au Musée suisse des Transports, à Lucerne. Le premier véhicule client, numéro de châssis 1002, a été livré le 1er avril 1968 à un certain M. Ploeg à Amsterdam. Exactement 10 exemplaires de la Monteverdi High Speed 375 S avec carrosserie Frua ont été construits jusqu’en 1971, dont quatre seraient encore «en vie» aujourd’hui.

Une opportunité unique



Récemment, par un beau lundi matin, je reçois un coup de téléphone de Gregory Holzapfel. Le Bernois, dont la «Youngtimervision» est devenue ces dernières années un centre d’excellence pour les voitures Monteverdi, venait de recevoir l’exemplaire numéro 1007. Il me demande si la Revue Automobile souhaiterait écrire un article à son sujet. Une proposition que l’on ne saurait refuser. Lorsque le journaliste débarque à Aarberg à l’heure convenue, G. Holzapfel est occupé avec un client, mais il sort aussitôt la clé de la poche de son pantalon, et il nous la donne sans autre recommandation. On peut y aller!

La #1007 bleu métallisé a été livrée le 31 janvier 1969 à Fritz Kilcher-Bloch, un entrepreneur du bâtiment domicilié à Dornach. La voiture est passée entre de nombreuses mains pour finalement aboutir chez le gourou de Monteverdi, Ruedi Wenger, en 1995. Ce dernier entreprend une restauration aussi parfaite que complète, et fait repeindre la voiture en rouge. En 2016, le propriétaire suivant fait installer la boîte Torque-Flite à la place de la transmission manuelle d’origine, ce qui n’augmente pas franchement le plaisir de conduire. Le puissant moteur V8 ronronne paisiblement, mais une grande partie de sa puissance s’évapore dans le convertisseur. On ne ressent donc pas vraiment les 650 Nm de couple maximal théorique (à 3200 tr/min). A rythme fluide, l’agrément de conduite est palpable et les vitesses à trois chiffres sont atteintes sans qu’on ait le temps de s’en rendre compte. A l’évidence, la Monteverdi est capable de voyager sur longue distance à des vitesses élevées, au prix sans doute d’une consommation considérable qu’il faut relativiser avec les 130 litres du réservoir. Quant à savoir si la voiture atteint réellement les 250 km/h annoncés, il est permis de fortement en douter. En tous les cas, le temps de 6 secondes revendiqué sur le 0 à 100 km/h relève de la fantaisie.



Mais qu’importe. Le plaisir est ailleurs, dans les détails de l’habitacle, les instruments ronds finement ciselés, le cuir noble des sièges ou les ouïes de ventilation – de véritables œuvres d’art. Peter Monteverdi a voulu ce résultat de grande classe, ces peausseries souples, les moquettes profondes, en bref: le meilleur du luxe. En ce sens, l’intérieur est au diapason de l’extérieur. Cette voiture a une allure diabolique avec ses doubles phares nichés sous le capot bas, ses flancs nets et cet arrière tronqué qui met un terme à la pente douce du pavillon. Un style simple mais magnifique, que l’on retrouve encore dans les feux arrière. Intemporel!

La Monteverdi de ce reportage nous a gentiment été mise à disposition par: www.youngtimervision.ch

https://revueautomobile.ch/2021/06/23/monteverdi-swiss-made/ (REVUE AUTOMOBILE - Monteverdi: Swiss made)

;) ;)
lesbellesauto le jeu 24 fév 2022 à 13:48
Bonjour à tous ;)

Un Monteverdi "Safari" comme voiture tractrice à Montlhéry lors des "Coupes de l'age d'or" au siècle dernier :oh:

Merci à la personne qui m'a confié ses archives photos :good: :good:



;) ;)
Sly_North le jeu 24 fév 2022 à 23:07
La même image un poil corrigée :


EDIT : en attaché une version avec une correction moins forte, avec un résultat un peu bruité mais plus réaliste.
Dernière édition le 25/02/2022 à 09:55 par Sly_North, édité 3 fois
bedpp le ven 25 fév 2022 à 06:51
L'auto sur le plateau c'est une Delage D6 Compétition ( ailes avant spécifiques )

lesbellesauto le ven 25 fév 2022 à 07:50
Bonjour à tous ;)

@Sly_North beau résultat :good:

Voici une vue du bolide sur le plateau ;)



Bonne journée à tous ;)
Sly_North le ven 25 fév 2022 à 09:16
Citation de lesbellesauto :
@Sly_North beau résultat :good:

Voici une vue du bolide sur le plateau ;)


@lesbellesauto Merci.
Challenge accepted!
Celle-ci est plus difficile à travailler, beaucoup plus de bruit dans le ciel et les parties cramées, à traiter séparément. J'ai préféré garder du grain pour garder l'esprit "photo d'entant" et ne pas perdre de détails.

J'utilise le logiciel Gimp : une équalisation automatique des couleurs, puis un flou gaussien sélectif (qui ne floutte que des pixels similaires).
Dernière édition le 25/02/2022 à 09:16 par Sly_North, édité 1 fois
bedpp le ven 25 fév 2022 à 09:29
Citation de bedpp :
« L'auto sur le plateau c'est une Delage D6 Compétition ( ailes avant spécifiques )

»


@lesbellesauto;) :good:
Je confirme c'est bien une Delage D6 Compétition avec une carrosserie ''remaniée'' dans la face avant les ailes et le beau rétro ''California'' des années 70/80

lesbellesauto le ven 25 fév 2022 à 18:21
@Sly_North je suis impressionné par le résultat :oh: :good: :good:
lesbellesauto le sam 21 mai 2022 à 22:01
Bonsoir à tous ;)

Trouvaille du net : Jay Leno et sa Monteverdi 375 S de 1970 :love:



;) ;)
caraddict le ven 3 juin 2022 à 23:47
https://www.leblogauto.com/actualite/la-suisse-va-autoriser-les-courses-sur-circuit--apres-66-ans-d-interdiction-92203 (La Suisse va autoriser les courses sur circuit, après 66 ans d'interdiction !)

Mieux vaut tard que jamais :D
Turbo1980 le sam 4 juin 2022 à 00:45
:oh: :D
lesbellesauto le mar 13 sept 2022 à 17:56
Bonjour à tous ;)



Cet ex-Gunter Sachs one-off Monteverdi 375L se dirige vers Monterey

Si vous recherchez un "gentleman's express" des années 1960 et que vous osez être différent, le concessionnaire suisse Andreas Wüest pourrait avoir quelque chose pour vous sous la forme de cette Monteverdi 375L unique avec une carrosserie Frua unique. Autrefois détenue par Gunter Sachs, la voiture sera exposée à The Quail.

(Simon de Burton - août 2022)

.... ....

En plus d'être un choix plus imaginatif que des contemporains évidents tels que le V8 d'Aston Martin, la 365 GTC de Ferrari ou même le Grifo d'Iso, ce Monteverdi est livré avec un bonus supplémentaire : il appartenait au "playboy ultime" Gunter Sachs et a très probablement transmis sa femme sex-symbol des années 60, Brigitte Bardot.

Ajoutez un autre brin d'intrigue sous la forme d'une retombée majeure entre le fondateur de la marque Peter Monteverdi et le carrossier Frua qui a été causée par l'existence de la voiture, et il est raisonnable de s'attendre à ce qu'elle attire une foule ce vendredi quand Andreas Wüest l'affiche sur la pelouse de Quail Lodge en collaboration avec Morton Street Partners pendant la Monterey Car Week

C'est la voiture que Monteverdi a choisie pour orner son stand au Salon international de l'automobile de Genève en mars 1968, aux côtés de sa biplace High Speed ​​375S. À l'époque, il était fini en bleu clair avec ce qui devait être un intérieur garni de daim délicieusement louche (bien qu'un peu peu pratique).

Avec son puissant moteur Chrysler Magnum de 7,2 litres, une vitesse de pointe de 250 km/h/150 mph, un temps de sprint de zéro à 100 km/h/62 mph de seulement six secondes et la commodité supplémentaire de deux sièges arrière, la 375L aurait été extrêmement attrayante pour les voyageurs glamour à la recherche d'un continent. d'une voiture rapide et confortable qui pourrait les emmener du petit-déjeuner à Londres au déjeuner à Paris et au dîner à Monte-Carlo sans transpirer.

La 375L était si bien exécutée qu'un peu plus d'un mois après sa présentation, elle a remporté le premier prix dans la catégorie des coupés de luxe à quatre places au prestigieux concours d'élégance de l'Automobile Club d'Allemagne.

Peu de temps après, elle a été vendue à son premier propriétaire Alfred Hopf, un magnat bancaire basé à Bâle qui était l'un des clients les plus enthousiastes de la marque, auparavant le soutien de la franchise Ferrari suisse de Monteverdi et également sponsor de l'équipe de course "Ecurie HOBA" de Monteverdi. Bien que satisfait de la voiture pour son "confort et sa fiabilité", Hopf a noté quelques problèmes d'accrochage - y compris "la surchauffe lors de la conduite à plein régime", qui a été résolue par des bouches d'aération supplémentaires.

Mais au moment où Hopf a acquis la 375L, la sellerie en daim avait déjà été remplacée par du cuir, un rétroviseur extérieur et des roues en magnésium à huit rayons avaient été ajoutés, et la couleur avait été changée en « aqua verde » distinctif - tout modifications encore présentes aujourd'hui.

La voiture a ensuite été prêtée à Frua pour être présentée au Salon de Paris de 1968, puis examinée favorablement par le magazine Road & Track avant d'être acquise par son célèbre troisième propriétaire, Gunter Sachs - héritier d'une partie de la fortune de la famille de voitures Opel du côté de sa mère. et le fournisseur de pièces automobiles Fichtel et Sachs sur celui de son père.

Il est fort probable que Sachs et Bardot (dont le mariage de trois ans a pris fin à la fin de 1969) auraient conduit la voiture ensemble, et on pense que le grand ami de Sachs, le chef d'orchestre autrichien fou de voiture Herbert von Karajan, a également pu faire l'expérience de la poussée du Magnum V8 de la 375L.

En effet, la voiture est si spéciale que Monteverdi l'a finalement rachetée et qu'elle a fini par devenir une exposition primée dans la collection de la marque (et plus tard dans le musée créé à partir de l'usine après l'arrêt de la production de Monteverdi). Très probablement, la raison pour laquelle Peter Monteverdi voulait récupérer la voiture est qu'il n'y en a pas d'autre comme elle.

N'ayant été en affaires en tant que constructeur automobile que pendant environ un an mais désireux d'élargir la gamme, Monteverdi avait en grande partie dessiné et conçu la voiture lui-même avant de demander à Frua de construire 50 premiers exemplaires. Cependant, la voiture a été si bien accueillie qu'il a ensuite augmenté ce nombre à 100 - mais les difficultés financières de Frua, combinées à la réticence de Monteverdi à trouver l'argent pour l'outillage nécessaire pour augmenter la capacité, signifiaient que seul ce Monteverdi 375L a été construit.

L'autre carrosserie de ce type créée par Frua a été vendue à AC et est devenue le premier exemple de sa nouvelle 429 de 1969 - laissant Monteverdi se tourner vers la Carrozzeria Fissore à Savigliano en dehors de Turin pour proposer un nouveau design, résultant en (une revendication) 100 les versions de production des 375L 2 + 2 à carrosserie Fissore sont construites et vendues avant l'arrêt du modèle en 1972.

Mais alors que Monteverdi a réussi à reprendre possession de sa bien-aimée Frua 375L, il a perdu un procès du carrossier revendiquant les droits sur le design (pas aidé par le fait que Monteverdi, parfois excentrique, avait déclaré de manière décisive dans la brochure de la voiture que 'la forme et la carrosserie proviennent du célèbre couturier carrossier Pietro Frua de Turin').

En conséquence, il a gardé rancune contre Frua pour le reste de sa vie, répondant à une invitation à la première réunion internationale Pietro Frua en 1996 (13 ans après la mort de Frua) en disant que 'la maison de Monteverdi ne pouvait pas coopérer avec Frua de quelque manière que ce soit….'

Monteverdi lui-même mourut deux ans plus tard. Peut-être que les deux se sont fait des amis dans l'au-delà - et mépriseront Quail Lodge ce week-end et se féliciteront du triomphe unique qu'est le 375L à corps Frua.

....

Photos by Glen Allsop

Source : https://www.classicdriver.com/en/article/sponsored-content/ex-gunter-sachs-one-monteverdi-375l-heading-monterey (This ex-Gunter Sachs one-off Monteverdi 375L is heading to Monterey | Classic Driver Magazine)

;) ;)
Turbo1980 le mar 13 sept 2022 à 18:14
:love: :love: :love:
JB007 le mer 14 sept 2022 à 00:09
https://www.youtube.com/watch?v=8G1mG5lgrcc
YouTube -
-

https://www.youtube.com/watch?v=I-WfbppXkyk&t=183s
YouTube -
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https://www.youtube.com/watch?v=5oK5exZv2vs
YouTube -
-
lesbellesauto le mer 14 sept 2022 à 05:59
Bonjour à tous ;)

@JB007 :good: :good:



Monteverdi hai 650 F1



Si vous aviez l'intention d'aller faire du shopping à The Quail ce week-end, vous aurez besoin d'un plus grand bateau (ou d'un porte-voiture) - car le concessionnaire suisse Andreas Wüest apporte le mythique Monteverdi hai 650 F1 en tant qu'invité surprise à la Garden-party automobile la plus glamour de Californie.

(Simon de Burton août 2021)

Mauvaise nouvelle si vous espérez voler la vedette à l'ouverture de The Quail en dévoilant un véhicule de premier plan - car vous allez probablement être devancé par une arrivée de dernière minute sous la forme de l'un des plus excitants, des supercars rares et énigmatiques de la dernière décennie du XXe siècle : la remarquable Monteverdi hai 650 F1 qui est exposée grâce à une collaboration entre le revendeur spécialisé suisse Andreas Wüest et Morton Street Partners.

Le hai scandaleux et tout en courbes s'est avéré être le chant du cygne de la marque éponyme de feu l'entrepreneur suisse Peter Monteverdi, issu de la brève incursion toujours ambitieuse de son fondateur dans la propriété d'une équipe de F1. Monteverdi a acheté Onyx Formula One à son ancien propriétaire à court d'argent en 1989, mais l'a fermée l'année suivante après avoir participé à seulement 10 des 16 courses de la saison 1990.

....

Aussi brève qu'ait été l'expérience, elle a inspiré une tentative de retour à la fabrication automobile après une interruption de huit ans avec quelque chose d'encore plus époustouflant que la hai 450SS à moteur central et défiant Ferrari qui avait séduit les foules au Salon de l'automobile de Genève de 1970. . Encore une fois, Monteverdi l'appela « hai » (pour « requin »), mais cette fois, ce serait une voiture de piste « ultime » qui débordait de réflexion sur la F1 - et en 1992, le tout nouveau « requin » a fait surface, avec un châssis formé de un `` sandwich en nid d'abeille en fibre de carbone et en aluminium '', un corps en carbone et en fibre de verre, une suspension F1, des freins en céramique de carbone AP Racing et (surtout) un moteur Cosworth 3,5 litres V8 F1 hurlant qui a produit 650 chevaux à un 11 000 frénétique tr/min.



Pesant à peine 850 kilos, le hai 650F1 était censé pouvoir atteindre 200 km/h/120 mph en seulement huit secondes et continuer jusqu'à une vitesse de pointe de 335 km/h/209 mph - bien que la documentation de lancement offrait l'option d'un moins puissant moteur "pour usage routier". Monteverdi a fixé le prix de la voiture à 850 000 francs suisses (le double du coût d'une Ferrari F40 contemporaine et 45 000 $ de plus qu'une McLaren F1) et prévoyait de limiter la production à 12. Dans le cas où seulement trois voitures auraient été construites : une autre un rouge, plus un troisième "mannequin" peint en argent - qui sont tous deux exposés au Musée national suisse des transports de Lucerne. Ils devaient être les derniers modèles Monteverdi jamais fabriqués.

....

Bien qu'elle soit la plus utilisée des deux voitures opérationnelles, cette hai 650 F1 n'a fonctionné que cinq HEURES au total, après avoir passé une bonne partie de sa vie en exposition statique. Il porte même le même ensemble de pneus Pirelli P-Zero qui ont été montés en usine. Il a cependant fait une apparition «dynamique» pour marquer le 60e anniversaire de Peter Monteverdi en 1994 (quatre ans avant sa mort), a parcouru le circuit de Dijon à plusieurs reprises lors de la journée de piste de Monteverdi en 2006 et est apparu au salon de Genève en 2017 pour célébrer les 50 ans de la marque.



S'exprimant depuis quelque part près du pont Golden Gate de San Francisco quelques jours seulement avant que la hai 650 F1 ne soit sur le point de faire son apparition spectaculaire à The Quail, Wüest a raconté à Classic Driver le tourbillon d'événements entourant son soudain voyage transatlantique. "J'ai toujours voulu assister à la semaine de la voiture de Monterey mais, d'une manière ou d'une autre, la chance m'a toujours échappé. Quoi qu'il en soit, je discutais du hai 650F1 avec mes contacts chez Morton Street Partners - et le lendemain, ils ont rappelé en disant" apportez-le à The Caille!'.

"Tout cela a été complètement soudain et inattendu, nous avons donc dû tout organiser incroyablement rapidement. Au moment de l'invitation, je ne savais même pas si la voiture fonctionnait, mais nous avions déjà décidé de faire une séance photo avec elle sur un terrain d'aviation en Suisse pour reproduire les photos du livre Monteverdi de Roger Gloor et Carl Wagner. "Il y avait si peu de temps que nous nous étions résignés à faire le tournage sans faire rouler la voiture - mais il a été préparé et vérifié et a en fait commencé le la deuxième tentative. C'était incroyable.



"Quoi qu'il en soit, dès que cela a été terminé, nous avons dû faire monter la voiture dans un avion - cela aurait pris beaucoup trop de temps pour l'expédier - puis trouver un moyen de nous rendre aux États-Unis à un moment où l'accès peut être difficile en raison de la réglementation Covid." Wüest a résolu ce problème en s'envolant pour le Mexique, où lui et un collègue ont dû se mettre en quarantaine pendant 15 jours chauds et humides avant d'être autorisés à traverser la frontière vers les États-Unis où ils ont été réunis avec le hai F1 dans un entrepôt sous douane de San Francisco. "Cela a été un tourbillon de trois semaines", dit Wüest, "mais se rendre à Monterey et exposer cette voiture est vraiment un rêve devenu réalité pour moi. Nous nous attendons à ce qu'elle attire beaucoup d'attention car elle est si rare et exotique.



"Si Peter Monteverdi avait été capable de produire correctement la hai 650 F1, même dans le nombre limité qu'il avait initialement espéré, je pense vraiment qu'elle aurait pu être aussi célèbre que la F40 ou même la McLaren F1. Fait intéressant, il a intégré des éléments d'autres voitures dans la conception - le poste de pilotage, par exemple, reproduit fidèlement celui de la F40 et l'aménagement intérieur a été inspiré par la Bugatti EB110. "C'est un véritable honneur de posséder la voiture - et encore plus un honneur avoir été invité à le montrer à The Quail. Je n'arrive pas à y croire...

"Tout ce que nous avons à faire maintenant, c'est d'espérer que tous ceux qui visitent The Quail viennent voir le hai, puis le prennent dans un autre avion et le renvoient en Suisse - ce qui, espérons-le, sera beaucoup moins stressant que de le faire sortir ici !" Mais la grande question est la suivante: le Monteverdi hai 650 F1 peut-il enfin être acheté? "Ce n'est pas officiellement à vendre", déclare Wüest. "Mais, comme tout, je suppose que ça doit avoir son prix..."

Photos : Rémi Dargegen

Source : https://www.classicdriver.com/en/article/sponsored-content/monteverdi-hai-650-f1-a-swiss-shark-bound-monterey (The Monteverdi hai 650 F1 is a Swiss shark bound for Monterey | Classic Driver Magazine)

Bonne journée à tous ;) ;)
JB007 le mer 14 sept 2022 à 13:43
Pour les fans de la marque Monteverdi, il existe un documentaire fait en 2021 sur l'historique de la marque, "Monteverdi - Der letzte Schweizer Autobauer".
On y retrouve les principaux véhicules de la marque et des plus exclusifs.

http://www.imcdb.org/movie_1004522858-Monteverdi-Der-letzte-Schweizer-Autobauer.html (IMCDb.org: "Monteverdi - Der letzte Schweizer Autobauer, 2021": cars, bikes, trucks and other vehicles)
https://www.playsuisse.ch/de/show/1039111/monteverdi-der-letzte-schweizer-autobauer (Monteverdi – Der letzte Schweizer Autobauer | Play Suisse)
JB007 le mer 14 sept 2022 à 14:53
Swiss Buggy Froggy de 1970.

http://www.imcdb.org/vehicle_1647206-Swiss-Buggy-Froggy-1970.html (IMCDb.org: 1970 Swiss Buggy Froggy in "Monteverdi - Der letzte Schweizer Autobauer, 2021")
lesbellesauto le mer 14 sept 2022 à 18:23
RE ;)



Pilote, puis constructeur de voiture de sport, Peter Monteverdi devint ensuite designer avec des créations originales telles que des ... yachts et le Range Rover ... quatre portes !

Le document ci-dessous n'est pas vraiment un document publicitaire, mais plutôt un résumé de ces multiples activités créatives.

Pour mieux connaître Monteverdi, on consultera le trés bel ouvrage "Monteverdi - Werdegang einer Schweizer Automarke" (250 pages !).



















;) ;)
lesbellesauto le mer 14 sept 2022 à 18:49
Citation de JB007 :

« Pour les fans de la marque Monteverdi, il existe un documentaire fait en 2021 sur l'historique de la marque, "Monteverdi - Der letzte Schweizer Autobauer". »


@JB007 :good: Merci pour l'info,je la poste directement histoire qu'elle soit visible facilement ;)

https://www.youtube.com/watch?v=6mHCrBl0sUo
YouTube -
-


Voici une seconde vidéo : L’âge d’or des bolides de marque suisse.



https://www.swissinfo.ch/fre/multimedia/monteverdi/28690302 (Monteverdi - SWI swissinfo.ch)

Les voitures conçues par Peter Monteverdi, fils d’immigré italien, ont fait les beaux jours du secteur automobile suisse. Aujourd’hui, les bolides sportifs et les limousines sorties jusqu’en 1982 de l’atelier de Binningen près de Bâle, sont jalousement gardées dans un musée. Paul Berger, un ancien de la maison, raconte. (Luigi Jorio et Thomas Kern, swissinfo.ch)



;) ;)
JB007 le mer 14 sept 2022 à 19:52
@lesbellesauto> De rien.
Une autre suisse, la Albar Sonic.

"L'histoire d'Albar Sonic
Albar était un fabricant de buggies Dune, de coccinelles VW personnalisées et de voitures en kit commercialisées de 1978 à 1993. Il a été lancé à Buochs, en Suisse, par un entrepreneur nommé Alois Barmettler et le nom de la société était une combinaison des lettres initiales de son noms et prénoms. Son entreprise était célèbre pour ses créations exagérées et ses poussettes Dune se sont avérées très populaires.
En 1982, Albar a présenté sa création la plus folle à ce jour, la Sonic, qui présentait un profil en forme de coin extrême, des portes en ciseaux et un ensemble unique de 7 phares dissimulés. La voiture d'origine était basée sur le châssis et le plancher de la VW Beetle, conservant son moteur flat-4 refroidi par air monté à l'arrière. Cependant, les versions ultérieures utilisaient un cadre tubulaire personnalisé qui permettait une disposition à moteur central et la puissance de la VW Golf ou de la Renault 25.
Une version "Spyder" à toit ouvert a été proposée avec la puissance Porsche en 1982. Puis, en 1984, le Sonic 2 est sorti avec un moteur central, une disposition 2 + 2 et un nouveau design de phares comprenant 2 jeux de 3 phares sous des couvercles rétractables. Cette voiture était dotée de la puissance de la VW Golf 1600 et d'un châssis sur mesure, mais conservait l'essentiel du style de la Sonic d'origine. Cette version a fait ses débuts au Salon de Genève.
Le Sonic a également été vendu au Royaume-Uni par 1-Six-2 Engineering, basé au nord de Londres. Au total, 10 ont été vendus, dont 6 à un seul client arabe. Celles-ci étaient similaires aux dernières voitures Albar avec leur châssis personnalisé, leurs sièges 2 + 2 et leur puissance VW Golf.
La version finale de Sonic a été introduite en 1991 par Albar et était proposée avec un moteur Renault 6 cylindres, monté au milieu à l'arrière, en tant que voiture clé en main.
Bien que peu connu en dehors de l'Allemagne, le film de 1986 "Killing Cars" mettait en vedette le Sonic dans le rôle éponyme, bien que rebaptisé "Korda World Car". L'histoire concernait un inventeur d'une voiture écologique dans une "histoire complexe d'intrigue automobile, de barons du pétrole, de financement d'entreprise et de méchanceté internationale, l'inventeur d'une voiture écologique alimentée par des cellules énergétiques devient la cible de tueurs. Après que Ralph Korda ait donné sa worldcar brevetée à un constructeur automobile allemand pour des tests, il est confronté à des hommes de mauvais augure, désireux de mettre la main sur son brevet. Les méchants seigneurs du pétrole arabes veulent également arrêter cette menace pour le marché de l'essence de toutes les manières possibles ", selon IMDb .
Les récits varient sur le sujet, mais entre 1993 et ​​1999, le Sonic a cessé sa production. Bien qu'elle ne soit pas la plus belle voiture en kit de son époque, elle était certainement l'une des plus distinctives et ambitieuses."

https://www.facebook.com/101761494935691/posts/the-albar-sonic-storyalbar-was-a-maker-of-dune-buggies-custom-vw-beetles-and-kit/131736605271513/ (Cette fonction est temporairement bloquée)

https://www.reddit.com/r/WeirdWheels/comments/ulw5s5/albar_sonic/

https://www.allcarindex.com/production/switzerland/albar/sonic/ (Albar Sonic - All Car Index)

Albar Sonic GT.

https://www.imcdb.org/vehicle_124013-Albar-Sonic.html (IMCDb.org: Albar Sonic GT in "Killing Cars, 1986")

Albar Sonic Roadster, 1992.

https://auta5p.eu/lang/fr/katalog/auto.php?idf=Albar-Sonic-Roadster-282 (Albar Sonic Roadster, 1992 [Auta5P ID:282 FR])
JB007 le sam 17 sept 2022 à 18:28
En 1977, les voitures électriques étaient plutôt rares....
Certaines firmes, en avance sur leur époque, ont essayé de proposer des petites citadines non polluantes.
C'est le cas de la Pilcar ci-dessous, une voiture électrique très aboutie d'origine suisse, construite par M. Victor Perrenoud, en collaboration avec deux sociétés suisses de distribution d'énergie électrique.
La carrosserie de cette Pilcar était fabriquée par un certain ... Sbarro !
La Pilcar fut fabriquée à 23 exemplaires entre 1977 et 1980.

Le dossier de presse (février 1977).



Le dépliant "économique".


Le dépliant-poster.


Le dépliant "luxe".

http://www.auto-pub.net/page_Pilcar_CH_77.htm (Les publicités automobiles)
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