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Nos Belles Anciennes
I'll-be-back le mer 30 juin 2021 à 19:51
Bonsoir.
Suite des BMW en pays catalan avec le très exclusif Z1
Photos : I'll be back, 2021/03



II ALLEMAGNE

21- BMW

d) Z1





(dernier cliché : du Net)

Un peu de doc :

Citation de I'll-be-back :
« Un essai rétro de la BMW Z1 par l'AJ en HS.
Pas si courant...

»


Citation de caraddict :
« J'attaque un autre numéro de L'AM, le 529, assez riche. Avec pour commencer un comparatif entre Alfa Romeo Spider, BMW Z1 et Mazda MX-5 :love:

»


Bonne soirée !
;)
lesbellesauto le jeu 1 juil 2021 à 17:24
Bonjour à tous ;)

Entre deux ventes aux enchères.............passage par Nangis en Seine & Marne :D



........

....

Bonne soirée à tous ;)
RAY2285 le jeu 1 juil 2021 à 17:41
Ola

Toujours de belles photos....

Aujourd'hui en Vendée (pas grand chose en ce moment il est vrai)

I'll-be-back le jeu 1 juil 2021 à 23:20
Bonsoir
On continue !
Photos : I'll be back, 2021/03



II- ALLEMAGNE

21- BMW


(du Net)


e) Z3 coupé M



Un peu de doc :

- Auto-Plus, d'un coup d'oeil :



- Le Moniteur Automobile en quelques lignes :



...et en comparo :




- Echappement, bien sûr :





- Auto-Hebdo pour un face à face musclé...



Bonne soirée
;)
I'll-be-back le ven 2 juil 2021 à 23:13
Bonsoir.
La suite des Allemandes. Mais chez Ford cette fois.
Photos : I'll be back, 2021/03



II- ALLEMAGNE

3- FORD

31- Escort MK1



(dernier cliché : du Net)

Bonne soirée
;)
lesbellesauto le sam 3 juil 2021 à 18:25
Bonsoir à tous ;)

Début d'une nouvelle aventure: La Vente Aguttes du 20 juin 2021 ;)

....

AC ACE BRISTOL ROADSTER - 1958 -

Estimation : 400000 - 500000 EUR

Résultat : 390 360EUR


5 propriétaires : le 1er de 1958 à 1964, le 2nd de 1964 à 1973, le 3ème de 1973 à 2016, le 4ème de 2016 à 2019.

Véritable « Time Capsule » jamais restaurée et affichant 27 899 miles d’origine au compteur.

Histoire exceptionnelle, accompagnée de l’ensemble de ses documents d’origine

Vendue avec un dossier historique

important retraçant toute son histoire

Vendue avec son pare-brise, ses parechocs, sa capote, ses sides creens et son tonneau cover d’origine

Matching Numbers

Titre de circulation belge

Chassis : BEX 481

Moteur: 100 D2 831 Bristol

Boite : BW CR 12830

....

Exceptionnelle à bien des égards, L’AC Bristol que nous présentons aujourd’hui est sans aucun doute l’un des roadsters de la marque les plus authentiques qui soit. Pour bon nombre de collectionneurs, l’histoire revêt un intérêt majeur, pour d’autres l’esthétique sera privilégié, pour certains l’authenticité prendra le dessus quand d’autres s’attacheront à un palmarès, quel qu’il soit. BEX 481, est de celles qui pourront combler toutes ces espérances avec un petit quelque chose en plus… un soupçon d’exotisme sur sa robe d’aluminium, sur ses cuirs patinés et dans sa définition originale voulu par son premier propriétaire Robert alias « Bob » Gubbins qui voyait en elle, de l’autre côté de l’Atlantique, la promesse de victoires en compétition. Parfaite ? On serait tenté de le dire…

Le châssis BEX 481 quitta l’usine de Thames Ditton pour le court trajet vers les quais de Londres le 16 juillet 1958, où il fut chargé pour être expédié dans les locaux de la Foreign Cars Associates à Detroit dans le Michigan. Commandé auprès de l’usine en Oxford Blue avec des sièges en cuir bleu, les freins à disque et, plus surprenant, d’un arceau jamais vu sur les commandes dédiées à l’Europe mais « obligatoire pour les courses américaine ». S’il peut faire sourire aujourd’hui… Il marque la vocation première de cette AC Bristol qui n’aura jamais cessé de courir sur les 13 premières années de sa vie…Six mois plus tard, le 11 janvier 1959, Gubbins immatricula le véhicule à son nom et le fit repeindre en Dunstan Blue Cadillac en ajoutant deux larges bandes blanche qui couraient depuis le capot avant jusqu’à la malle de coffre. Dès lors, la voiture ne cessa de courir sur les circuits. Il faut dire que ce dernier était un pilote privé émérite ayant beaucoup œuvré pour le développement de la compétition aux Etats-Unis et notamment pour le circuit de Waterford Hills dans le Michigan. BEX 481 courra pendant quatre ans aux mains de Gubbins, allant jusqu’à la frontière canadienne. La documentation en notre possession est colossale : photos d’époque, programmes de courses, articles de presse, factures, correspondances, certificats ou encore des laissez-passer « pilotes » ou « crew » complètent un dossier historique retraçant toutes les étapes de la vie de BEX 481. Le 15 février 1963, Gubbins commanda une seconde AC Bristol (BEX 1212) à l’usine qu’il fit également repeindre dans sa teinte fétiche et céda en mars 1964 BEX 481 à un membre de son assistance, Edwin W. Fischer. Ami proche de Gubbins, Ed Fischer devient son second propriétaire et courra au volant de BEX 481 pendant près de neuf années avec à son actif quelques bons résultats en classe 2000cc. Résidant à Chicago, il lui arrivait au début des années 70 de se rendre sur son lieu de travail au volant de son AC. C’est à cette occasion, le 26 décembre 1973 que BEX 481 allait entamer sa troisième vie aux mains d’un jeune retraité de la US Marine Corps, Paul Nawrocki.

Selon les correspondances que nous avons retrouvées et qui seront jointes au dossier, Paul Nawrocki tomba amoureux des lignes de notre voiture et la conserva précieusement pendant 42 ans en prenant bien soin d’entretenir sa mécanique. Utilisée mais pas maltraitée, elle a accumulé une belle patine et quelques rides dignes d’un pur-sang dans sa soixantième année. Au fond, faute de moyen ou amateur bien éclairé, la carrosserie et la sellerie de BEX 481 ne furent jamais restaurées si bien qu’aujourd’hui, les affres du temps sont les témoins de son histoire. Belle à se damner, l’aluminium visible par endroit ou la patine des cuirs de ce bleu lagon incroyable lui donne une allure inimitable.

Repérée dans une annonce du bulletin du AC Owners ‘Club (ACtion). BEX 481 retrouva le sol britannique début 2016. Son propriétaire d’alors, le quatrième, parvient à rentrer en contact avec la fille de Bob Gubbins pour retracer son histoire. Les échanges de correspondances à travers l’Atlantique, ont permis de ressortir des photos supplémentaires, des instants de vie.

https://www.aguttes.com/lot/113642/15280410? (1958 AC ACE BRISTOL ROADSTER)

https://www.youtube.com/watch?v=25lSQ4x9cSY&t=3s
YouTube -
-


A SUIVRE ;)
I'll-be-back le sam 3 juil 2021 à 20:25
Citation de lesbellesauto :
« Bonsoir à tous ;)

Début d'une nouvelle aventure: La Vente Aguttes du 20 juin 2021 ;)

»




Ach ! Gut !...:) :good:
I'll-be-back le sam 3 juil 2021 à 20:29
On continue sur le même portage.
Ford toujours.
Photos : I'll be back, 2021/03



II- ALLEMAGNE


3- FORD


(du Net)

32- Taunus




Bonne soirée !
;)
Dernière édition le 10/07/2021 à 14:08 par I'll-be-back, édité 2 fois
I'll-be-back le dim 4 juil 2021 à 11:05
Worldcars le dim 4 juil 2021 à 12:32
I'll-be-back le dim 4 juil 2021 à 13:54
Sympas toutes ces Volkswagen !...:good:
lesbellesauto le dim 4 juil 2021 à 14:48
Bonjour à tous ;)

Vente Aguttes du 20 juin 2021 ;)



PANHARD PICHON-PARAT DOLOMITES - 1955 -

Estimation : 60000 - 80000 EUR

Résultat : 65 260 EUR


Palmarès intéressant

Eligible Mille Miglia et Tour Auto

Mécanique performante

Carte grise française

Châssis n° : 857 918


........ ....

En 1952, deux amis de longue date, Bernard Pichon et André Parat, s’associent pour créer une entreprise de carrosserie, à Sens, dans l’Yonne. Le premier est doué pour dessiner des autos, et le deuxième, chaudronnier de formation, pour leur donner vie. La période juste après-guerre n’est pas forcément tournée vers le loisir, et les jeunes carrossiers commencent donc par modifier des grosses berlines américaines en utilitaires, pour lesquels la demande est forte. En 1951, il se paient le luxe de prendre un stand au Salon de l’Automobile de Paris, pour exposer une Ford Vedette recarrossée et un très élégant coupé sur base de Renault 4 CV. Jusqu’au milieu des années 1950, ils transformeront ainsi près de 300 Ford Vedette en break, coupé, berline modifiée ou cabriolet. Après un étonnant cabriolet Renault Frégate, nos deux compères jettent leur dévolu sur les performantes et bien pensées Panhard Dyna Junior, ces roadsters qu’ils modifient en berlinettes avec l’ajout d’un hard top. Bluffés par l’agilité des productions du doyen des constructeurs français, ils décident de créer une berlinette, dont le dessin sera cette fois-ci entièrement signé Bernard Pichon, par ailleurs très intéressé par la compétition automobile. Au printemps 1953, la première Dolomites (510 kg sur la balance !) sort des ateliers de la rue Mocquesouris. La voiture sera construite en deux versions, une première à pare-brise en deux parties, plates et en V, et une deuxième avec pare-brise « panoramique ». La Dolomites, vraisemblablement construite à une quinzaine d’exemplaires, fera la joie de pilotes amateurs en compétition, avec quelques victoires de classe, en catégorie 750 ou 850 cm3 selon la cylindrée du moteur Panhard adopté. Une seule sera construite sur châssis D.B, les autres étant fabriquées sur des plateformes de Dyna X ou Junior, neuves ou provenant de véhicules d’occasion. On retrouvera ensuite parmi les productions des carrossiers de Sens deux sublimes berlinettes Salmson 2300 S, une étonnante berlinette à portes papillon sur base 4 CV (la fameuse Izoard), des breaks sur base Panhard PL 17 ou des barquettes Talbot T26 qui courront les 24 Heures du Mans. Ils travaillèrent aussi ensuite longuement avec le designer américain Raymond Loewy (d’origine française), qui appréciait leur rapidité d’exécution et la simplicité de leurs méthodes, pour des projets parois très délirants. Et c’est André Parat qui en 1968 transformera encore la très longue Jaguar Type E du film Le petit baigneur avec Louis de Funès

La Dolomites qui illustre ces pages fut facturée par Pichon et Parat le 30 novembre 1955 et réceptionné aux Mines le 15 décembre, sa carte-grise indiquant « X 87 MODIFIE 2-places » et Conduite Intérieure. La voiture prend alors la direction de Montpellier, et est immatriculée dans l’Hérault le 16 décembre au nom d’Antoine Tortarolo, « entrepreneur de transports », mais surtout pilote amateur que l’on retrouvera plus tard aux commandes d’un coach D.B HBR5, d’une Alfa Romeo Giulia Ti et même d’une GTA. Le 16 janvier 1956, Tortarolo prend le départ du Monte-Carlo, depuis Lisbonne, au Portugal avec une Panhard Dyna X flanquée du numéro 131. Son abandon prématuré fait qu’il n’existe aucune photo de l’équipage, et les registres de l’Automobile Club de Monaco n’indiquent pas non plus le numéro de châssis de l’engin. Il est néanmoins très vraisemblable que la Dolomites # 857 918 ait pris le départ du célèbre rallye. Le 17 mars 1956, Tortarolo et son copilote, Petiot, terminent 12e au scratch et gagnent leur classe au très réputé rallye Lyon Charbonnière. La Dolomites, flanquée du numéro de course 51 a les honneurs de la presse : l’Action Automobile et Touristique publie en effet une photo de la voiture et vante les mérites de l’équipage « qui l’emporte sur un lot important de concurrents de qualité. » Le 29 juillet, Tortarolo remporte encore sa classe avec la Dolomites lors de la très courue course de côte du Mont Ventoux. Un mois et demi plus tard, le 17 septembre, on retrouve Tortarolo et Petiot à Nice, avec la Dolomites, au départ de l’incontournable Tour de France Automobile. La Dolomites numéro 129 brille lors des deux premières spéciales (16e temps scratch au Ventoux, et 22e temps au circuit du Comminges) avant d’abandonner à la course de côte du col de Peyresourde. L’édition 1956 est la plus dure et celle qui dispose du plus beau palmarès de l’histoire de l’épreuve. En 1957, Tortarolo revend la Dolomites pour acheter la fameuse D.B HBR5. La voiture aura ainsi encore deux propriétaires dans l’Hérault jusqu’en 1961, année où elle change à nouveau de mains. Elle part dans le Gard, et on perd sa trace jusqu’au milieu des années 1970, lorsqu’elle est rachetée, fatiguée, par un amateur éclairé.

https://www.aguttes.com/lot/113642/15280174? (1955 PANHARD PICHON-PARAT DOLOMITES)

A SUIVRE ;)
I'll-be-back le dim 4 juil 2021 à 16:11
Une dernière FORD.
Last but not least, avec cette Sierra Cosworth au sang anglais.
Photos : I'll be back, 2021/03



II- ALLEMAGNE

3- FORD

33- Ford Sierra RS Cosworth



==

(deux derniers clichés : du Net)

Un peu de doc :

Citation de I'll-be-back :
« Henri Pescarolo testait la Sierra RS Cosworth dans l'Action Automobile...


»


Bonne fin de week-end !
;)
lesbellesauto le dim 4 juil 2021 à 18:12
RE ;)

Une rencontre fort rare aujourd'hui :oh: :love:

Riley Kestrel 1100





;)
Flambeur54 le dim 4 juil 2021 à 19:08


Buick invicta 1961
honda1981 le dim 4 juil 2021 à 20:04
Rassemblement dans le 41. Photos 07/2021.



























clionrj le dim 4 juil 2021 à 21:13
La Riley Kestrel, super trouvaille :love: :love: :good:
Dernière édition le 04/07/2021 à 21:14 par clionrj, édité 1 fois
Flambeur54 le dim 4 juil 2021 à 21:31
lesbellesauto le lun 5 juil 2021 à 09:10
Bonjour à tous ;)

Vente Aguttes du 20 juin 2021 ;)

....

Encore une sportive :love:

DE TOMASO PANTERA «GR. 3» - 1971 -

Estimation : 90000 - 120000 EUR

NON VENDUE


Important dossier de factures

Performance et fiabilité à toutes épreuves

Eligible au Tour Auto, Le Mans Classic

et Mondena Cento Ore

Carte grise française

Châssis n° THPNLS01893


........

Né en 1928 en Argentine, Alessandro de Tomaso fut un ancien mécanicien et pilote de l’écurie Osca des frères Maserati avant de fonder sa propre marque éponyme en 1959. Dans le sillage des glorieux Fangio et Gonzales, il voulut briller sur les circuits mais en homme avisé il s’aperçut vite qu’il n’en avait pas le talent. Aussi il se tourna vers la construction d’automobiles de course et s’installa à Modène alors capitale mondiale du sport automobile. Ayant un sens aiguisé des affaires, de Tomaso parvient à tisser des liens forts avec le géant Ford qui sortait perdant de ses négociations avec Enzo Ferrari. C’est dans ce contexte que la Pantera fit son apparition au début des années 70. Dessinée par Tom Tjaarda et conçue par le jeune et talentueux ingénieur Gianpaolo Dallara fraichement débarqué de chez Lamborghini, la Pantera démontra un potentiel immense si bien qu’il fut décidé de préparer une série de voiture pour concourir dans la catégorie Grand Tourisme.

Propulsée par un V8 Cleveland 351 ci, la Pantera dispose alors de 270 cv pour figurer parmi les plus rapides GT du moment et notamment la Corvette aux USA. Conçue sur une coque autoporteuse en acier avec poutre centrale et carrosserie en acier, la Pantera n’est pourtant pas très légère. Le V8 Ford tout en fonte n’aide pas à gagner des kilos, mais les performances sont très intéressantes grâce à son couple conséquent et à la bonne aérodynamique de la voiture haute de 1m10 seulement. Le V8 Cleveland évoluera à plus de 300 cv pour les GTS Standard, et 400 cv pour les Groupe 3, ou près de 500 pour les Gr 4.

01893 présenté ici est l’un des tous premiers châssis construit en juin 1971 avec des pièces provenant des premières générations telles que le tableau de bord ou les pare-chocs. Portant la lettre L (pour Lusso) sur son numéro de châssis, elles sont souvent considérées comme les plus intéressantes par les amateurs de la marque. Selon son important dossier de factures, la voiture résidait en Floride avant d’arriver en Belgique dans les années 1990. Achetée en 2005 en vue de participer à plusieurs épreuves du calendrier historique, la voiture sera intégralement reconstruite pour répondre à l’homologation du Gr. 3. La préparation, confiée à Gilles Céron du Vintage Garage non loin d’Orléans, débute en 2006. Rien ne sera laissé au hasard, la carrosserie est intégralement mise à nue, les passages d’ailes sont élargis, les trains roulants et les freins (Porsche/Brembo) sont adaptés pour passer la puissance au sol du bloc 5.8l gavé par les quatre carburateurs Weber IDA 48. Quelques mois plus tard, la voiture est sur la grille de départ du circuit des 24 heures et franchira le drapeau à damier à une honorable 42ème position sur les 71 voitures du plateau 5. En 2009, elle rejoindra Marseille depuis Le Grand Palais à l’occasion du Tour Auto Optic 2ooo en régularité. Depuis, plus de 33 000 € sur factures auront été nécessaire pour maintenir l’auto à son meilleur niveau comme la réfection du moteur en juillet 2016 pour plus de 13 000 €. Fiabilisée et diablement performante, cette De Tomaso Pantera est une belle opportunité.

https://www.aguttes.com/lot/113642/15280164? (1971 DE TOMASO PANTERA «GR. 3»)

A SUIVRE ;)
I'll-be-back le lun 5 juil 2021 à 19:54
Bonsoir.
On monte vers l'étoile tout en restant du même côté du Rhin.
Photos : I'll be back, 2021/03



II- ALLEMAGNE

4- MERCEDES

41- 190 E


(dernier cliché : du Net)

42- SL


(dernier cliché : du Net)

Un peu de doc :

Citation de I'll-be-back :
« La Mercedes 190E face à ses concurrentes. Comparatif de l'Auto-Journal.







»


Bonne soirée !
;)
pat7672 le lun 5 juil 2021 à 22:47
Une petite série spéciale @I'll-be-back

635 CSI


3.0 CSL


3.0 CSI


3.0CSL


635 CSI


530 I US


635 CSI
Dernière édition le 06/07/2021 à 08:49 par pat7672, édité 1 fois
I'll-be-back le lun 5 juil 2021 à 22:58
Excellent !... Merci Patrick !!...:love: :good: :good:
pat7672 le mar 6 juil 2021 à 08:50
J'avais oublié de mettre les types, maintenant c'est fait. Il faut remonter de deux posts :D
I'll-be-back le mar 6 juil 2021 à 12:56
Citation de pat7672 :
« J'avais oublié de mettre les types, maintenant c'est fait. Il faut remonter de deux posts :D »


@pat7672 : Bien vu, merci.:good:
La troisième n'est pas une 3.0 CSI mais une 635 CSI...;)
lesbellesauto le mar 6 juil 2021 à 16:59
Bonjour à tous ;)

Suite de la "Vente Aguttes du 20 juin 2021" ;)

....

Puisque @pat7672 nous a bien chauffé Pascal avec ses BM..... superbes d'ailleurs :good: :good:

BMW Z1 - 1991 -

Estimation : 40000 - 60000 EUR

Résultat : 53 460 EUR


Moins de 32 500 km d’origine

Récemment révisée

Deuxième main

Carte grise française

Châssis n° : WBABA91090AL05044

............

Salon de Francfort 1987 : une étonnante voiture trône sur le stand BMW. Le constructeur bavarois (en fait sa filiale indépendante – et très créative – BMW Technik GmbH) vient en effet de dévoiler un roadster (le deuxième d’après-guerre avec l’iconique 507) aux lignes tendues (signées Harm Laagay, qui avait déjà dessiné la Porsche 924) qui se singularise par des portes… escamotables. Un vrai bond vers le futur, le Z signifiant d’ailleurs zukunft (futur en allemand) ! On aurait pu penser qu’il s’agissait d’un prototype de salon, mais il n’en fut rien puisque le Z1 sera produit en série à très exactement 8 000 exemplaires entre juillet 1988 et juin 1991. Un succès réel mais limité en raison d’un prix de vente élevé de 366 700 Francs, alors qu’un cabriolet BMW 325 se vendait 211 000 Francs. Pour développer ce drôle d’engin, les ingénieurs BMW sont partis d’une plateforme galvanisé de 325i, modifiée par le carrossier Baur, habitué à transformer des 2002 en cabriolets dans les années 1970, avec certains renforts qui firent de la Z1 l’un des cabriolets les plus rigides de tous les temps, un train arrière multibras spécifique, un arceau intégré aux montants de pare-brise et un inédit fond plat. La carrosserie, en fibre de verre, a été sous-traitée aux Etats-Unis, chez General Electric Plastics, tandis que les très exclusives portes escamotables ont été étudiées chez… Matra ! Les sièges « à coque » sont habillés d’une sellerie camouflage en cuir et nubuck. Sous le capot avant à la cinématique originale, on retrouve le 6-cylindres de 2,5 l et 170 ch lui aussi emprunté à la BMW 325i E30. Niveau freinage, la Z1 inaugure chez BMW le système ABS. Le roadster Z1, véritable vitrine de la marque, fut la première grande série Z du constructeur bavarois, avant la Z3 qui arrivera en 1995.
L’année 1991 marque la dernière année de production, avec 1 451 exemplaires sortis de chaînes. Il se dit d’ailleurs que BMW eut du mal à écouler les derniers stocks. L’exemplaire que nous présentons ici est l’un des rares vendus neufs en France (6 443 Z1 sur les 8 000 furent vendus neufs en Allemagne !), comme en témoignent le bon de commande, la facture et la lettre de félicitations du président de BMW France qui accompagnent le dossier la voiture, qui se singularise par sa couleur verte diamant. Son premier propriétaire la conservera de 1991 à 2016, roulant assez peu. Le carnet est en effet tamponné jusqu’à 20 000 km, en 1998, tandis que la facture suivante intervenue juste avant sa vente en 2016, indique un kilométrage de presque 30 000 km. Son deuxième et actuel propriétaire vient de faire procéder au remplacement de la courroie de distribution (facture d’avril 2021 jointe au dossier). Il a aussi fait repeindre la voiture dans sa teinte d’origine, en même temps que les ailes avant, fendues (défaut habituel des Z1) furent réparées. Notons aussi que le silencieux arrière, spécifique, en forme d’aile d’avion pour un effet de sol, vient aussi d’être remplacé par un modèle en inox, l’origine étant endommagé par la rouille, maladie connue sur les autos ayant… trop peu roulé. Ce roadster Z1 offre l’opportunité rare d’acquérir un authentique concept-car roulant, au dessin intemporel et au concept unique, ayant très peu roulé et parfaitement suivi.

https://www.aguttes.com/lot/113642/15280177? (1991 BMW Z1)

A SUIVRE ;) ;)
pat7672 le mar 6 juil 2021 à 17:25
Pascal, je n'y connais rien dans ce genre de voitures :D

Je n'ai fait que recopier le programme, et en plus la photo correspond à celle dans le programme...
lesbellesauto le mar 6 juil 2021 à 17:58
Pour ceux qui aiment le "Canada" et les "Citroën" :love:

https://www.youtube.com/watch?v=56FKXo5vrXc
YouTube 27:12
POA AU CANADA 5/8 : LES ENFANTS D'ANDRE CITROËN
I'll-be-back le mar 6 juil 2021 à 20:14
Bonsoir.
Suite des Allemandes...
Avec Porsche.



II - ALLEMAGNE


5- PORSCHE


(du Net)






==





Un peu de doc sur la Porsche 928 S4 confrontée à une sérieuse concurrente :






Bonne soirée !
;)
lesbellesauto le mer 7 juil 2021 à 05:54
Bonjour à tous ;)

Suite de la "Vente Aguttes du 20 juin 2021" ;)

....

PORSCHE 356 B SUPER 90 - 1962 -

20 000 - 30 000 EUR

Résultat : 57 000 EUR


Vendue neuve à Poitiers

Histoire intéressante

Saine et d’origine

Carte grise française

Châssis n° : 122267

Moteur n° : P 806271

Véhicule à restaurer entièrement, en l'état de semi-épave vendu sans contrôle technique.

À noter quelques pièces manquantes :

Lunette arrière
Pare-brise
Pare choc arrière
Echappement
Grille de capot arrière
Quelques pièces intérieures (centre de volant)
Ciel de toit

........

Iconique et pouvant être considérée comme la première d’une lignée ayant assuré le succès et la solidité financière de la marque Porsche, la 356 est le socle sur lequel s’est bâtie la légende de la marque, faite de génie et de passion. La conception initiale de Ferdinand et Ferry Porsche était bonne. Moteur arrière, 4-cylindres à plat, refroidi par air, carrosserie profilée, fabrication de qualité, cet ensemble a évolué avec régularité, sérénité et rigueur, au point que l’on retrouve sur la 911 actuelle certains des ingrédients qui ont façonné la personnalité des premières Porsche. Baptisée pré-A, la première série se révèle aussitôt un succès commercial aux Etats-Unis et deviendra vite la voiture des stars. La légende était née. La 356 ici présentée est un modèle B Super 90. Vendue neuve en France au garage Buchet à Poitiers, celle-ci est de couleur blanche et l’intérieur est en skai marron. L’histoire de cette Porsche est tout à fait intéressante car celle-ci ne quitta jamais la campagne du centre-ouest de la France depuis sa mise en circulation le 12 novembre 1962. Elle est d’abord immatriculée 686 HT 86 puis est revendue en avril 1968 à un jeune homme de Niort qui l’immatricule 75 JB 79. La Porsche a 20 000 km au compteur environ lorsque monsieur C. le propriétaire alors en promenade sur une route près de Niort évite de peu un accident dramatique avec un camion arrivant en face. La manœuvre est brutale et la Porche se couche dans le fossé. Plus de peur que de mal, aucun blessé à déclarer mais la voiture est abimée sur le flanc et le propriétaire ne pouvait pas engendrer les frais des réparations. Finalement le dépanneur et garagiste récupère la 356 accidentée dans le but de la refaire mais la voiture dormira au fond de son garage pendant 20 ans. Celui-ci la revend en 1985 à un autre garagiste qui stock la voiture sans y toucher non plus …. Jusqu’en 2021 !

La petite Porsche mérite aujourd’hui une vraie restauration, celle-ci est presque complète sauf des éléments de vitrages et des petites pièces intérieures. La base est très saine et le moteur d’origine est non bloqué.

https://www.aguttes.com/lot/113642/15280170?offset=0& (1962 PORSCHE 356 B SUPER 90)

;) ;)
lesbellesauto le mer 7 juil 2021 à 19:19
Rebonjour à tous ;)

Suite de la "Vente Aguttes du 20 juin 2021" ;)

........

CHRYSLER IMPERIAL COUPÉ C69 - 1955 -

Estimation : 35 000 - 45 000 EUR

NON VENDUE


Très belle restauration

Rarissime en Europe

Moteur V8 Hemi

Carte grise française de collection

Châssis n° : C554595

Vendue sans contrôle technique

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Depuis le milieu des années 1920 et le lancement de sa marque par Walter Chrysler, les Imperial incarnent le haut de gamme du constructeur automobile américain. Il s’agissait d’une finition jusqu’en 1955, année où la direction du groupe décide d’en faire une marque à part entière pour commercialiser ses plus belles automobiles, et concurrencer Cadillac chez General Motors et Lincoln chez Ford. C’est aussi l’époque où l’emblématique Virgil Exner travaille pour Cadillac et crée le style Forward Look (regard vers l’avant). Pour la première année d’Imperial en tant que marque, la gamme se compose de deux modèles : la C69, à empattement court, disponible en berline Sedan et coupé Newport, et la C70 à empattement long, uniquement disponible en berline Crown. Sous le capot on retrouvait le meilleur moteur Chrysler, le V8 Fire Power de 331 ci et avec sa culasse hémisphérique et son carburateur quadruple corps qui lui permettait d’offrir 250 ch accouplé à l’onctueuse boîte automatique Power Flite et sa commande au tableau de bord.

Le coupé que nous présentons ici, appelé en usine « two-door hardtop », est l’un des 3 418 sortis des chaînes en 1955. Il faut dire qu’il s’agissait à l’époque du coupé américain le plus cher du marché ! Il dispose en plus d’options particulièrement intéressantes pour l’époque, dont les sièges avant et les vitres électriques (tout l’équipement électrique fonctionne à l’exception d’une vitre avant). C’est donc un modèle rare, d’autant plus de ce côté-ci de l’Atlantique. Il fut importé en France en 1991, et restauré selon les standards en vigueur aux Etats-Unis. Toute la mécanique a en effet été refaite à neuf, à la fin des années 1990, et la carrosserie restaurée en 2000, en même temps que la sellerie et les chromes. Il se dit que les médaillons de custode sont même dorés à l’or fin… Cette Imperial, qui a bénéficié d’une restauration de très grande qualité mais a peu roulé ces dernières années, ne demande qu’à rouler après une petite révision.

https://www.aguttes.com/lot/113642/15282832?offset=50& (1955 CHRYSLER IMPERIAL COUPÉ C69)

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VOLVO P 1800 S - 1966 -

Estimation : 16 000 - 24 000 EUR

Résultat : 28 090EUR


Elégante, fiable et iconique

Voiture rare sur nos routes

Bon état d’origine

Chassis : 18345VF19818

Carte grise française de collection

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Dotée de lignes élégantes et racées, la Volvo P1800, présentée au salon de Bruxelles le 16 janvier 1960, doit son succès commercial au dessin du designer italien Pietro Frua et à sa qualité de fabrication. Il ne faudrait pas pour autant sous-estimer l’impact de la série télévisée britannique Le Saint dans laquelle Roger Moore alias Simon Templar se déplace à son volant lors des 118 épisodes d’une des plus longues séries d’aventures produites au Royaume-Uni, avec Chapeau melon et bottes de cuir. D’abord proposé à Karmann en RFA, la production des 10 000 premiers exemplaires sera finalement confiée à Jensen Motors qui ne parvient pas à exploiter pleinement ses chaines de production. Cependant dès 1963, le contrat est rompu suite à des problèmes qualité après seulement 6 000 exemplaires et la production de la P1800 est rapatriée à Göteborg dans l’usine Volvo de Lundby.

C’est justement un de ses exemplaires que nous présentons aujourd’hui. Equipée du bloc moteur type B18B de 1780cc développant 103 cv, notre voiture fait partie des 4 500 exemplaires produits entre août 1965 et juillet 1966 avant l’arrivée du moteur de 1986cc (type B20B). Sur cette série, le comportement routier bénéficie d’importantes améliorations apportées par le renforcement du train arrière qui confère à l’ensemble une meilleure stabilité à haute vitesse. Un nouvel échappement améliore également les performances et permet une vitesse de pointe de 180 km/h, ce qui en son temps pouvait encore être un atout commercial ! Livrée neuve aux Etats Unis, cette voiture passa la quasi-totalité de sa vie en Californie avant que son propriétaire actuel s’en porte acquéreur il y a trois ans. Jamais restaurée à l’exception d’un voile de peinture ancien dans sa teinte d’origine bleu pâle (code 89), les alignements des éléments de carrosserie sont bons dans l’ensemble avec quelques enfoncements légers par endroit. Si certains joints ont séché avec le soleil, les chromes sont en bon état et toutes les surfaces vitrées sont bien celles d’origine. Le Châssis quant à lui est incroyablement sain (dossier complet consultable sur demande). A son arrivée en France, l’ensemble des trains roulants et le contrôle de la mécanique seront effectués pour un usage régulier. A son volant, les montées en régime sont franches – sans doute grâce au remplacement des SU d’origine par des Weber – et le moteur étonnamment souple. La boite de vitesse, également d’origine Volvo (M41 à 4 rapports synchronisés) est très agréable et l’overdrive à commande électrique Laycock-de-Normanville en option ajoute un bel agrément à la conduite. Les freins agissent efficacement et la direction, assez souple,reste néanmoins précise. Coté habitacle, on redécouvre avec plaisir les tableaux de bord des premières séries avec des placages d’aluminium en bon état. Cependant, la sellerie et les moquettes nécessiteront quelques soins pour les collectionneurs les plus exigeants. De plus en plus recherchée, la Volvo P1800 est une voiture attachante sous bien des aspects et voit sa cote grimper d’année en année. Nul doute que cet exemplaire en strict état d’origine saura attirer les amateurs du genre.

https://www.aguttes.com/lot/113642/15280162?offset=0& (1966 VOLVO P 1800 S)

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AUSTIN MINI CLUBMAN - 1971 -

Estimation : 10 000 - 15 000 EUR

NON VENDUE


Look Riley Elf unique

Version break

Collector

Carte grise française

Châssis n° : XA2W2 - 416 066

Moteur n° : 99HA08P – 124 810

Vendue sans contrôle technique

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On ne présente plus l’iconique Mini produite à plus de cinq millions d’exemplaires entre 1959 et 2000. Dès mai 1960, la gamme propose une version Van pour les professionnels, avec un empattement allongé de 7,5 cm. Cette version rencontre un tel succès qu’une Estate, vitrée et 4-places, baptisée Coutryman et Traveller (chez Morris), voit le jour quelques mois plus tard. En 1969, après 207 000 exemplaires, la nouvelle Mini Clubman Estate (197 606 exemplaires jusqu’en 1982) la remplace. C’est l’une de ces Clubman Estate, en version 1000 (998 cm3) qui illustre ces pages. L’auto, unique, fut modifiée avec la face avant d’une Riley Elf, une version plus prestigieuse de la Mini, qui se distinguait par son volume tricorps, son niveau de finition et cette fameuse calandre élégamment surannée. D’ailleurs, la couleur jaune de cette originale Mini Clubman modifiée rappelle aussi le Chartreuse Yellow exclusif de ces Riley. La voiture, roulante, n’a pas été utilisée depuis deux ans et nécessitera une révision avant de reprendre la route.

https://www.aguttes.com/lot/113642/15278773?offset=0& (1971 AUSTIN MINI CLUBMAN)

A SUIVRE

Dernière édition le 07/07/2021 à 19:20 par lesbellesauto, édité 1 fois
I'll-be-back le mer 7 juil 2021 à 19:48
Bonsoir.
On continue outre-Rhin avec les voitures du peuple...
Photos : I'll be back, 2021/03




II- ALLEMAGNE

6- VOLKSWAGEN

61- Coccinelle


« Bonnets blancs et blancs bonnets...
:)


(du Net)







(Lou Ferrigno, alias Hulk, du Net)

Un peu de doc :

Essai AJ Volkswagen Coccinelle 1302 .



La fiche synthèse des bancs d'essais annuels :



Et les essais rétro...



Bonne soirée !
;)
lesbellesauto le jeu 8 juil 2021 à 09:45
Bonjour à tous ;)

Suite de la "Vente Aguttes du 20 juin 2021" ;)

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LAMBORGHINI ESPADA SÉRIE 3 - 1976 -

Estimation : 60 000 - 80 000 EUR

Résultat : 75 880 EUR


Matching numbers

Belle restauration

Historique intéressant

Carte grise française

Châssis n° : 9804 - Moteur n° : 41492

Vendue sans contrôle technique


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La légende est connue : alors qu’il vient de tomber en panne d’embrayage avec sa Ferrari 250 GT, Ferrucio Lamborghini, à la tête d’une solide entreprise de construction de tracteurs, rend visite au Commendatore pour se plaindre. Mais, supportant mal la critique, Enzo répond à Ferrucio qu’il est plus doué pour fabriquer des tracteurs que pour conduire des Ferrari. Le soir même, il décide de se lancer dans la construction d’une GT pour battre Ferrari sur son propre terrain. La 350 GT, présentée au Salon de Genève en 1964, et les 400 GT qu suivent s’avéreront rapidement de sérieuses concurrentes des Ferrari. Que dire encore de la sublime Miura P400 dévoilée au Salon de Turin 1965 ? Après elle, Ferrucio décide de produire une nouvelle GT 4-places et fait élaborer en ce sens un prototype baptisé Marzal, signé Gandini (alors attaché à Bertone), qui offre quatre vraies places sans perdre ni en habitabilité, ni en sportivité. Un peu remanié (le moteur passe de l’arrière à l’avant, et de six à douze cylindres), la voiture de série sera commercialisée au milieu de l’année 1968, après avoir été baptisée Espada. Avec son V12 de Miura, c’est alors l’une des 4-places les plus rapides du monde, avec une vitesse de pointe de 250 km/h. La série 1 sera produite à 176 exemplaires jusqu’à novembre 1969, laissant ensuite place à la Série 2, dont 578 exemplaires trouveront preneur jusqu’en 1972. A la fin de cette année-là, Lamborghini présente la Série 3, censée notamment répondre aux drastiques normes de sécurité américaines. Elle se pare de nouveaux pare-chocs, mais bénéficie en contrepartie de l’air conditionné de série. De la même façon, malgré de sévères normes antipollution, de nouveaux carburateurs permettent toujours au V12 de développer les 350 ch annoncés par sa devancière. La Série 3 clôturera la belle aventure de cette incroyable GT 2+2 en 1979, après 472 exemplaires construits. L’Espada #9804, équipée du moteur #41492 et de la carrosserie Bertone #750*1175 (750 étant la référence Bertone pour les Espada et 1175 le numéro de séquence sur un total de 1 225 carrosseries fabriquées), fut livrée en octobre 1976 aux Établissements Thepenier, de SaintCloud, importateur français Lamborghini et Maserati de l’époque. Mais la facture du transporteur que nous avons retrouvée (une copie est jointe au dossier) indique comme destination le Salon de Paris, et il est donc tout à fait vraisemblable que l’auto que nous présentons soit celle du Salon de Paris 1976 ! Elle sera ensuite vendue à M. Bonino, résident en Corrèze, à Brive, comme l’atteste le libreto di assitenza e garanzia qui accompagne aussi la voiture. Il la conservera jusqu’en 1986, année où il la cédera à un docteur des Deux-Sèvres, qui ne la revendra que trente ans plus tard. Elle aura encore deux propriétaires jusqu’à aujourd’hui. Livrée grise d’origine (argento) elle fut repeinte en bleu et se présente aujourd’hui dans un bel état de conservation, avec une délicieuse patine et des organes mécaniques particulièrement propres qui semblent attester les 66 450 km affichés au compteur. Quelques factures justifient des visites régulières au garage Aumonier, spécialiste reconnu de la marque dans les Deux-Sèvres. Le V12 emprunté à la Miura qui la motorise ne demande aujourd’hui qu’à s’exprimer et enchantera son futur propriétaire… et ses trois passagers.

https://www.aguttes.com/lot/113642/15282836?offset=50& (1976 LAMBORGHINI ESPADA SÉRIE 3)

Cette auto a déjà été vendu en 2018 par "Artcurial"

https://www.artcurial.com/fr/lot-1976-lamborghini-espada-serie-3-no-reserve-3279-114 (Rétromobile 2018 by Artcurial Motorcars | Vente n°3279 | Lot n°114 | Artcurial)

A SUIVRE ;)
RAY2285 le jeu 8 juil 2021 à 20:53
Ola

Surprise sur un parking, JAGUAR XJ6...

I'll-be-back le jeu 8 juil 2021 à 21:42
Bonsoir.
Toujours chez Volkswagen, le Transporter.
Incontournable.
Photos : I'll be back, 2021/03

La suite logique...


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II- ALLEMAGNE

6- VOLKSWAGEN


62- Combi


(du Net)






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Bonne soirée !
;)
Dernière édition le 09/07/2021 à 18:56 par I'll-be-back, édité 1 fois
lesbellesauto le ven 9 juil 2021 à 05:56
Bonjour à tous ;)

Suite de la "Vente Aguttes du 20 juin 2021" ;)

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Deux jolie pouliches ;)

FERRARI 400I AUTOMATIC - 1983 -

Estimation : 65 000 - 85 000 EUR

NON VENDUE


Belle restauration et combinaison de couleurs

Excellent comportement routier

Vendue avec ses carnets et manuels d’origine

Carte grise française

Châssis n° 45003


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Livrée neuve le 15 septembre 1983 à Hambourg cette Ferrari 400i fait partie des 873 exemplaires équipés de la boite automatique sur les 2 167 produits entre 1978 et 1984. (153 exemplaires pour le millésime 83). Magnifiquement restaurée entre 2015 et 2017, elle affiche un peu plus de 63 000 km au compteur. Extérieurement, la carrosserie a été entièrement repeinte dans sa teinte d’origine et peu courante Celeste Metallizzato. Les alignements sont impeccables tout comme les jantes repeinte également et montées avec des Michelin TRX neufs. La sellerie a quant à elle été intégralement refaite chez Luppi en Italie pour un montant de 7 000 € en respectant scrupuleusement les détails de finition propre au millésime 83 avec des sièges au cuir lisse et plissé. Le tableau de bord, le ciel de toit, les contre-portes et les moquettes ont également été refaits dans la même teinte de cuir blu scuro (VM 3282) d’origine. Au final, l’alliance de ces deux teintes de bleu est superbe est met en valeur les lignes tendues de ce coupé 2+2. Matching number, cette voiture dispose de son certificat Ferrari mais aussi de son carnet d’entretien, de ses manuels d’origine ainsi que la copie de la première carte grise. Révisée en 2016, l’ensemble des trains roulants ont été changés avec le remplacement des amortisseurs, des silentblocs, des rotules et des barres stabilisatrices. Lors de notre essai routier, nous avons été surpris par le comportement de cette GT pesant plus 1.5 tonnes. Les 310 cv sont bien présents et la boite de vitesse automatique ne bride aucunement le plaisir de conduite. Aussi bien en courbe rapide que sur routes sinueuses avec un revêtement bosselé, la voiture reste précise, parfaitement guidée grâce à une direction assistée remontant parfaitement les informations de la route. Quant au freinage, si l’on sent bien que l’auto pèse son poids, ce dernier s’avère tout à fait à la hauteur de l’ensemble.

https://www.aguttes.com/lot/113642/15282840?offset=50& (1983 FERRARI 400I AUTOMATIC)

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FERRARI 612 SCAGLIETTI F1 - 2004 -

Estimation : 70 000 - 90 000 EUR

NON VENDUE


Entretien suivi

Courroies de distribution neuves

Moins de 56 500 km

Titre de circulation belge

Châssis n° : ZFFAY54B000137634

Moteur n° : 83881


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Après la sculpturale et adulée 456 GT, Ferrari présente en 2004 une authentique GT 2+2 : la 612 Scaglietti, en référence au carrossier italien de Modène, intimement lié à l’histoire du Cavallino rampante. Plus luxueuse, plus bourgeoise, plus habitable, plus puissante : c’est la Ferrari V12 à moteur avant de tous les superlatifs. Pourtant, les amateurs du cheval cabré la boudent, ne voyant en elle qu’une Ferrari familiale, forcément moins intéressante que les strictes 2-places, considérées – à tort – comme plus nobles et plus sportives. Malgré ses mensurations (4.76 m de long, 2,95 m d’empattement), elle accuse pourtant 60 kg de moins que la 456 GT, grâce à une carrosserie intégralement en aluminium. Une carrosserie à la ligne exclusive, signée du designer Ken Okuyama, de chez Pininfarina, qui a notamment creusé les flancs de la bête, une façon de rendre hommage à l’iconique 375 MM Pinin Farina de 1954 offerte par le réalisateur Roberto Fellini à la sublime actrice Ingrid Bergman. Sous le capot avant, on retrouve le V12 tipo F133 de 5,7 l de cylindrée et qui développe 540 ch, offrant à la 612 des chronos similaires à… la 575 M. Il est accouplé à une boîte mécanique ou séquentielle robotisée (type F1, 90 % de la production), montée juste devant le pont arrière, façon transaxle, pour un meilleur équilibrage des masses. Cette authentique GT sera fabriquée à un peu plus de 3 000 exemplaires jusqu’en 2011. La fin de sa production marquera aussi la fin des Ferrari 2+2, une série entamée dans les années 1960 avec la fameuse 250 GTE et marquée un peu plus tard par la gamme des 400. Il semblerait que la voiture que nous présentons, de couleur azzuro metalizzato, n’ait eu que trois propriétaires, tous belges, depuis 2004. Elle fut en effet livrée à son premier propriétaire le 10 juin 2004, via le concessionnaire officiel Ferrari Autobedrijf Monza de Laethem-Saint-Martin, et régulièrement conduite et entretenue. Son carnet d’entretien témoigne en effet de révision entre 2005 et 2010, de 12 000 km à un peu plus de 39 000 km. Elle change de mains en 2011, année où le concessionnaire officiel Ferrari de Wijnegem, FMA, la vend à son deuxième propriétaire, et où les courroies de distribution sont une première fois remplacées. Si le carnet n’est plus tamponné, le Car-Pass permet néanmoins de justifier d’un entretien toujours suivi jusqu’en 2014. La voiture, qui totalise alors un peu plus de 55 000 km passe entre les mains de plusieurs professionnels, avant d’être achetée par son actuel propriétaire en 2017. Il s’en servira très peu, et fera de nouveau remplacer les courroies de distribution (facture de janvier 2021 jointe au dossier). Cette belle Ferrari GT 2+2, qui n’a pas eu de descendance, voit enfin son intérêt remonter. Cet exemplaire, qui ne demande qu’à rouler, ravira son futur propriétaire.

https://www.aguttes.com/lot/113642/15282839?offset=50& (2004 FERRARI 612 SCAGLIETTI F1)

A SUIVRE ;)
RAY2285 le ven 9 juil 2021 à 16:23
Ola

Vue ce matin en Vendée...une belle Renault 1932...

I'll-be-back le ven 9 juil 2021 à 19:01
Bonsoir.
Toujours chez Volkswagen.
Photos : I'll be back, 2021/03



II- ALLEMAGNE

6- VOLKSWAGEN


(du Net)

63- Karmann



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Bonne soirée !
;)
I'll-be-back le ven 9 juil 2021 à 21:54
Prochain gros rendez-vous à Nogaro...
J'y serai...;)

lesbellesauto le sam 10 juil 2021 à 10:09
Bonjour à tous ;)

NOGARO pour toi Pascal :good:

De mon coté le 24 :



Et le 25 :



Et maintenant suite de la "Vente Aguttes du 20 juin 2021" ;)

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EN ROUGE & NOIR



FIAT 1200 PININ FARINA - 1958 -

Estimation : 15 000 - 25 000 EUR

NON VENDUE


Voiture roulante mais à restaurer

Une des 19 construites

Mécanique de grande série

Titre de circulation suédois

Châssis n° : 423 052


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Au Salon de Turin 1957, Fiat présente la 1200 Granluce, sensée coiffer la gamme de la 1100-103, lancée en 1953 et qui connut un immense succès jusqu’au milieu des années 1960 (et même jusqu’en 2000, avec la Premier Padmini fabriquée en Inde !). Elle doit aussi remplacer la performante et luxueuse Turismo Veloce (1100-103 TV). Equipée d’un moteur de 1 221 cm3 développant 55 ch, sa carrosserie dérive étroitement de la 1100-103 avec un pavillon modernisé. Si le prototype a des portes avant « suicide », la version de série bénéficie de quatre portes s’ouvrant dans le « sens normal ». Environ 400 000 Fiat 1200 seront produites jusqu’en 1960, avec diverses carrosseries, dont la très élégante Trasformabile dessinée par Fabio Luigi Rapi, responsable de la sezione carrozzerie speciali chez Fiat, initialement pour la 1100-103 TV. En 1959, la Fiat 1200 Trasformabile sera remplacée par le spider 1200 carrossé par Pinin Farina. Le carrossier turinois, installé à quelques encablures de l’usine Fiat (le père de Gian-Battista Pinin, Joseph, était d’ailleurs salarié de Fiat), entretient des relations étroites avec le géant italien, et il a déjà œuvré sur un grand nombre de Fiat 6 C 1500 ou des berlinettes 1100 S, et dès 1953 sur la Fiat 1100 TV. En 1957, Pinin Farina présente au Salon de Genève et de Turin un coach 4-places (avec custodes) et un coupé 2-places, disponibles au choix sur base 1100 ou 1200. Leur ligne, novatrice, proche des coaches et coupés Lancia Appia, Flaminia et Ferrari 250 GT sera plus tard reprise sur la Ferrari 250 GTE et, à plus grande échelle, sur le coupé Peugeot 404. Un prototype 2-places sera racheté par Enzo Ferrari lui-même, raccourci et retravaillé par la Carrozzeria Scaglietti di Modena, équipé de freins à disques Dunlop et du moteur 854, pour devenir le prototype de l’ASA 1000 GT, la fameuse Ferrarina. Selon les spécialistes, il y aurait eu en tout et pour tout dix-neuf Fiat 1100 et 1200 Pinin Farina carrossées en coupé 2 et 4-places avec ce dessin-là.

L’exemplaire qui illustre ces pages est l’une de ces très rares versions Pinin Farina, traitée en coupé 4-places sur base de Fiat 1200. Selon la brochure d’époque, « la différence la plus importante » avec le coach 2-places « est dans le toit qui, étant plus grand, permet l’habitabilité intérieure pour quatre personnes. Les sièges avant sont séparés et indépendants : lorsqu’on plie les dossiers en avant les sièges eux-mêmes avancent automatiquement pour permettre un accès plus facile aux places arrière. » La carrosserie, comme les ouvrants, sont en acier, à l’exception de la malle arrière… en fibre de verre ! Le tableau de bord, « spécial, est peint en vernis anti-reflex. » Le châssis #423 052 fut vendu neuf en Suède. Son deuxième propriétaire, M. Nicklasson, passa un dernier contrôle technique en 1970, avant de remiser l’auto pour plusieurs décennies. De couleur bleu clair d’origine, elle fut repeinte en rouge vraisemblablement avant sa longue immobilisation. La voiture, redécouverte en 2017, fut redémarrée juste avant la vente. Elle se trouve aujourd’hui dans un état d’usage avancé, et bien que roulante, nécessitera une restauration à la hauteur de sa rareté et de son intérêt historique.

https://www.aguttes.com/lot/113642/15280172?offset=0& (1958 FIAT 1200 PININ FARINA)

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FORD THUNDERBIRD - 1956 -

Estimation : 15 000 - 25 000 EUR

Résultat : 20 420 EUR


Première version intéressante

Modèle emblématique des années 50

Rare hard-top en option à partir de 1956

Carte grise française de collection

Chassis : P6FH267732


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Pour venir concurrencer sur son créneau la Chevrolet Corvette sortie deux ans plus tôt, Ford lance sa nouvelle voiture de sport décapotable en 1955. Son nom, la Thunderbird ! De 1955 à 1957, c’est un modèle cabriolet à deux places équipé d’un V8 puissant. 16 000 exemplaires sont vendus dès la première année, ce qui en fait un succès commercial qui atteindra 53 166 exemplaires durant ses trois premières années de production. Petit à petit la Thunderbird finira par devenir une voiture de luxe sur le créneau de la Cadillac Eldorado. En effet, dès 1958, le bureau d’études de la Ford Motor Company décide de faire de cette voiture une quatre-places à allure sportive. Les ventes sont alors en hausse, Ford surfant sur l’interprétation typiquement américaine de la voiture de sport, avec un moteur V8 monté dans une voiture confortable et spacieuse, dédiée à une clientèle jeune et pleine d’avenir. L’exemplaire que nous avons la chance de présenté est un rare modèle de 1956 qui se distingue du précédent par son pare-chocs arrière avec le Kit Continental plaçant la roue de secours à l’extérieur afin d’augmenter l’espace dans le coffre à bagage. Autre détails qui fit couler beaucoup d’encre à l’époque et qui agite le microcosme des collectionneurs aujourd’hui, le hard top de 1956 est reconnaissable entre tous grâce à son hublot, jamais vu auparavant sur un véhicule et esthétiquement très réussi, il était une option à l’époque. Dans son strict état d’origine, la peinture noire est écaillée par endroit mais mériterait d’être conservée tant elle confère à notre modèle une allure inimitable. Le hard top blanc tranche avec la carrosserie mais recouvre un habitacle en simili noir et blanc. Equipée de la boite de vitesse automatique en option il ne nous a pas été possible de vérifier son bon fonctionnement mais à son achat en 2016, la voiture avait reçu des frais importants et avait rejoint par la route la collection. A redémarrer, il sera nécessaire de contrôler les trains roulants avant de reprendre la route mais cette voiture est présentée largement en dessous de sa cote et offre un fort potentiel pour ceux voulant une américaine iconique dans le plus pure esprit des Rat Cars !

https://www.aguttes.com/lot/113642/15282831?offset=0& (1956 FORD THUNDERBIRD)

A SUIVRE ;) ;)
I'll-be-back le sam 10 juil 2021 à 14:10
Excellent, Stéphane !... :good: Je sens que ça va cartonner... :) juste avant la troisième vague et de nouvelles restrictions...:D
lesbellesauto le sam 10 juil 2021 à 18:28
Un peu de lecture :?:

L'AUTOMOBILE n°365 décembre 1976



Le dernier salon de "LONDRES" - 1976- année de la canicule,ce qui explique certainement la tenue légère de cette jolie jeune femme ;)





Puisqu'il est question d'Anglaise :love:



HILLMAN SUPER MINX - 1962 -

Estimation : 2 000 - 3 000 EUR

Résultat : 2 733 EUR


Projet de restauration

Documentation d’origine

Belle patine

Carte grise française

Châssis n° B1205096 H LSX

Vendu dans l’état, sans contrôle technique

.... ....

Dans les années 60, le Groupe Rootes dirige plusieurs marques automobiles, et parmi elle figure Hillman et sa populaire Minx. En 1961 sort la Super Minx, destinée à renouveler le concept de la Minx, mais toujours sur la même plateforme Audax. Produite de 1961 à 1965, ce modèle connaitra 4 séries différentes ainsi que des versions cabriolets et breaks.

Notre exemplaire est mis en circulation le 31 octobre 1962 et n’a connu que deux propriétaires depuis 1978. Aujourd’hui dans une teinte de bleu ciel à toit blanc, elle présente une belle patine que ce soit au niveau de sa carrosserie ou de son habitacle. Cette voiture possède toujours ses notices d’utilisation et sa brochure commerciale d’époque. Des traces de corrosion par endroit perforante sont à noter au niveau de sa carrosserie et de son châssis. Une remise en route de son moteur sera à prévoir. Cette auto constitue une intéressante base de restauration.

https://www.aguttes.com/lot/113642/15285109?offset=50& (1962 HILLMAN SUPER MINX)

https://www.youtube.com/watch?v=y9lxUiWbUwU
YouTube 21:42
The Hillman Super Minx Documentary - Rootes Group Cars hit 40,000km Finland

dépliant en français HILLMAN Super Minx 1962



;) ;)

Dernière édition le 10/07/2021 à 18:33 par lesbellesauto, édité 1 fois
I'll-be-back le sam 10 juil 2021 à 21:33
Bonsoir.
J'aime beaucoup ta lecture et aussi les images qui l'accompagnent, Stéphane !...:) :good:
Les allemandes tirent à leur fin.
Toujours chez Volkswagen, en plus récent mais youngtimer quand même...
VW Corrado. Qui a succédé à la Scirocco...
Photos : I'll be back, 2021/03



II - ALLEMAGNE

6- VOLKSWAGEN

64- Corrado


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(du Net)

Là aussi, un peu de lecture :

Citation de caraddict :
« Numéro 513 de L'AM cette fois, moins riche puisque je me limiterai à ce match Nissan 200 SX/Porsche 944/Volkswagen Corrado

»


Et un peu plus :




Bonne soirée !
;)
legend41 le sam 10 juil 2021 à 22:51
lesbellesauto le dim 11 juil 2021 à 07:13
Bonjour à tous ;)

@]legend41 :good: :love:
I'll-be-back le dim 11 juil 2021 à 07:21
Ah oui c'est original ce canari !...:) :good:
pat7672 le dim 11 juil 2021 à 08:24
c'est un FIAT 600 multiplat
legend41 le dim 11 juil 2021 à 14:22
I'll-be-back le dim 11 juil 2021 à 14:32
:good: :good: :good:
lesbellesauto le dim 11 juil 2021 à 15:34
RE ;)

Citation de I'll-be-back :
« Ah oui c'est original ce canari !...:) :good: »


@I'll-be-back

https://www.youtube.com/watch?v=z3K-pBlZFWc
YouTube -
-

Suite de la "Vente Aguttes du 20 juin 2021" ;)

....

CITROËN C4 COMMERCIALE - 1930 -

Estimation : 5 000 - 8 000 EUR

Résultat : 7 440 EUR


Restauration ancienne à reprendre

Rare version conduite intérieure commerciale

Couleur du catalogue

Carte grise française

Châssis n° : 113001

Vendue sans contrôle technique

........



Au Salon de l’Automobile de Paris 1925, sous la nef du Grand Palais, André Citroën, présente la nouvelle B10. Une auto qui cache une sacrée nouveauté, puisqu’elle inaugure la caisse « tout acier », suite à la licence (et à l’outillage) cédée par l’américain Budd. En 1929, la C4 propose enfin une ligne plus moderne et plus équilibrée, ancrée dans la décennie qui arrive. Son moteur, plus puissant de 40 %, se révèle aussi plus robuste grâce à un vilebrequin 3-paliers. C’est aussi l’année où apparait la nouvelle conduite intérieure commerciale, qui correspond à la forme actuelle de nos breaks. « Deux voitures en une seule », annonce la réclame. « Elégante voiture à siège arrière et garnitures amovibles pouvant être instantanément transformée en camionnette pour charge utile de 500 kg. Idéale pour les industriels, commerçants, agriculteurs, pour les fervents du camping ou de la chasse, pour les propriétaires ruraux loin de toute gare… » La voiture que nous présentons fut la propriété de Maurice et Gilbert Bataille, illustres cascadeurs, vus dans de nombreux films, notamment sous la direction de Rémi Julienne. Cette C4, qui fut vraisemblablement remise en partie en état dans les années 1990, est à terminer. Son moteur n’est pas bloqué.

https://www.aguttes.com/lot/113642/15278772?offset=0& (1930 CITROËN C4 COMMERCIALE)

..........................................................................................

CITROËN AMI 6 - 1963 -

Estimation : 1 000 - 2 000 EUR

Résultat : 2 612 EUR


Moteur tournant

Base de pièce

Look original

Carte grise française

Châssis n° 9228658

Vendu dans l’état, sans contrôle technique



Le catalogue Citroën des années du milieu des années 50 est assez restreint. La 2CV est une alternative à la voiture populaire et bon marché, et la DS à la voiture de luxe confortable et révolutionnaire. L’objectif pour le tout début des années 60 est d’ajouter à ces deux modèles un milieu de gamme. Sortira donc en 1961 la Citroën Ami 6, dotée d’un moteur plus puissant et d’un confort de bord plus important que celui de la 2CV.

Notre exemplaire fut mis en circulation le 17 octobre 1963, il présente aujourd’hui une peinture bicolore rouge et blanche refaite il y a de nombreuses années. Des traces de corrosion perforante sont à signaler sur la carrosserie et le châssis. Du point de vue mécanique, le moteur est tournant et complet. Cette Ami 6 se présente comme une intéressante banque de pièce accompagnée de sa carte grise.

sans réserve

https://www.aguttes.com/lot/113642/15282864?offset=50& (1963 CITROËN AMI 6)

...........................................................................................

CITROËN AMI 8 - 1969 -

Estimation : 1 000 - 2 000 EUR

Résultat : 1 617 EUR


Projet de restauration

Configuration intéressante

Look original

Carte grise française

Châssis n° 451053

Vendu dans l’état, sans contrôle technique



Le Salon de Genève 1969 voit apparaître l’évolution stylistique de l’Ami 6, fruit du travail de Robert Opron : l’Ami 8. L’idée est la même, mais quelques changements sont adoptés pour tenter d’inverser la courbe des ventes, en baisse depuis quelques temps. En juillet 1978, la production prend fin, et les Citroën LN et Visa prendront la suite de ce segment.

L’Ami 8 que nous présentons fut mise en circulation le 12 juin 1969. Elle possède une peinture blanche associée à un intérieur rouge d’origine qui présente des déchirures notamment sur le siège conducteur. Des traces de corrosion perforante sont à noter par endroits au niveau de la carrosserie et du châssis. Du point de vue mécanique, une remise en route du moteur sera nécessaire, son propriétaire ne l’ayant que peu utilisé depuis son achat en 2017. Cette populaire française répondra aux attentes d’un collectionneur cherchant un projet de restauration.

sans réserve

https://www.aguttes.com/lot/113642/15282866?offset=50& (1969 CITROËN AMI 8)

............................................................................................

CIRCA - 1969 - CITROËN M35

Estimation : 8 000 - 12 000 EUR

Résultat : 21 032 EUR


Histoire intéressante

Prototype rarissime

Bel état de préservation

Pas de carte grise

Chassis n°: 00 EA 0061

Vendue sans contrôle technique



Dans les années 1960, Citroën, grand constructeur français, souhaite asseoir sa domination. En 1965 la firme historique du « quai de Javel » prend le contrôle de Panhard, dans l’espoir d’utiliser ses compétences et, surtout, son outil industriel, puisque la doyenne des marques françaises, disparait deux ans plus tard. En 1968, la firme aux doubles chevrons rachète le fabricant italien de voitures de sport Maserati, et produit la SM, arrivée dans une mauvaise conjoncture économique. La marque au trident sera revendue à Alejandro de Tomaso en 1975. Mais en 1967, les finances de Citroën sont encore bonnes, et ses dirigeants ont donc signé un partenariat avec l’allemand NSU pour construire des moteurs Wankel bi-rotor. En 1969, NSU, en faillite, est rachetée par Volkswagen pour quelques marks et le constructeur français est donc contraint de continuer seul dans l’aventure Wankel. Pour confirmer ses choix stratégiques, Citroën décide de monter son moteur Comotor (à un seul rotor) de 995 cm3 et 49 ch dans un prototype élaboré sur la base de l’Ami 8 par le carrossier Heuliez, avec une très futuriste carrosserie coupé 2-portes à l’arrière fuyant, type fastback, et une suspension hydropneumatique maison. Citroën décide de construire 500 prototypes, et de les confier en essai longue durée, à ses clients les plus fidèles, pour tester ce moteur en usage réel et décider de sa fabrication en grande série. Le moteur rotatif se montre très performant, montant si facilement dans les tours qu’il a fallu installer une alarme sonore lorsque le régime moteur dépassait 7 000 tr/min. En revanche, il se révèle peu fiable et difficile à démarrer. Le résultat est si décevant que Citroën rappelle les M35 pour… les détruire, et éviter une mauvaise publicité. Sur les 500 M35 que Citroën avance avoir construits (chaque voiture avait un numéro inscrit sur l’aile pour valider ce chiffre), il semblerait que seuls 267 ait vraiment vu le jour. Et une trentaine seulement auraient survécu jusqu’à aujourd’hui, ayant miraculeusement échappé au pilon. La M35 numéro de châssis # 00 EA 0061 fut offerte à Monsieur H., très bon client de la marque, au tout début des années 1970, peutêtre au moment même où les voitures étaient rappelées pour être détruites, puisqu’il en prit livraison à l’usine Citroën d’Aulnay, et qu’on la lui confia… sans carte grise. Il se fit même arrêter par la maréchaussée, plus intrigué par l’engin que par ses papiers, en revenant à son volant dans son Maine-et-Loire natal. Arrivé à destination, Monsieur H. remisa cette M35 sous un appentis, d’où elle ne ressortit qu’en mai 2021, après cinquante ans de sommeil. La voiture, bien que stockée dans des conditions peu optimales, se révèle à nous dans un état assez incroyable, avec une carrosserie (dans sa teinte gris métallisé propre au modèle), un châssis et un intérieur (dont les superbes sièges, qui rappellent ceux de la SM) particulièrement sains. Posée sur la terre battue à cause d’une suspension hydropneumatique non fonctionnelle, certains éléments, dont l’échappement, ont subi les affres du temps. L’autocollant spécifique indiquant que « Ce prototype M35 à moteur à piston rotatif est en essai longue durée entre les mains d’un client Citroën » est encore présent sur la lunette arrière. Pour des questions pratiques, des pneus neufs ont été montés depuis les photos qui illustrent le catalogue, et la voiture nettoyée.

https://www.aguttes.com/lot/113642/15278753?offset=0& (CIRCA 1969 CITROËN M35)

...........................................................................................

CITROËN DS21 - 1973 -

Estimation : 4 000 - 6 000 EUR

Résultat : 8 440 EUR


Projet de restauration

Intérieur cuir

Ligne indémodable

Carte grise française

Châssis n° 4535638

Vendu dans l’état, sans contrôle technique



visiteuse du "CAP" :?:



Comme le dit Roland Barthes : « à son apparition, la DS 19 a fonctionné comme un objet magique, luisant, sans jointure, avec beaucoup de vitres, sorte d’objet tombé du ciel ». Et le regard que l’on porte aujourd’hui à la Citroën est toujours le même. De nos jours, la DS est encore un ovni, et bien peu d’automobiles renvoient une image aussi forte.

Cette DS 21 fut mise en circulation le 14 mars 1973, ce qui en fait l’une des dernières DS 21 à carburateur et boite mécanique. Repeinte en rouge il y a quelques années, cette auto présente aujourd’hui des traces importantes de corrosion sur sa carrosserie et son châssis. Son habitable est doté d’un intérieur en cuir refait il y a quelques années et son compteur affiche 90 000 km. Du point de vue mécanique, le moteur démarre et tourne bien, on notera également que le système de suspension hydraulique est fonctionnel.

https://www.aguttes.com/lot/113642/15282861?offset=50& (1973 CITROËN DS21 M)

;) ;)

A SUIVRE
I'll-be-back le dim 11 juil 2021 à 19:16
Bonsoir.
Poursuite du reportage catalan avec les italiennes.
Photos : I'll be back, 2021/03



III- ITALIE

31- ALFA ROMEO

a) Coupé Giulia

Citation de I'll-be-back :
« Avec Brigitte Bardot. Pour une incontestable valeur ajoutée... et pour un café volontiers partagé !...

»


(du Net)





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==
Bonne soirée !
;)
Dernière édition le 11/07/2021 à 19:17 par I'll-be-back, édité 1 fois
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