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 Nos Belles Anciennes |
| lesbellesauto |  le mar 28 mars 2017 à 07:09
Bonjour à tous  Pour débuter la journée voici une YOUNGTIMER,mais pas vraiment commune sous nos latitudes https://www.leboncoin.fr/voitures/1112226716.htm (VW GOL Moteur AIRCOOLED unique en France Voitures Cher - leboncoin.fr)      Description : Disponible à la vente en France , VW GOL de 1980 production Brésilienne . Modèle produit pendant 6 mois après l'arrêt du Brasilia et donc avec moteur AIRCOOLED 1.3 en position avant avec traction avant et boite 4 vitesses . C ' EST LE SEUL MODELE AU MONDE DANS CETTE CONFIGURATION Il sera vendu avec garantie , CG Française et CT ok . Il dispose de son carnet d'origine et le double des clés . Prix à débattre uniquement après essais . Visible à Rétro bourges (dép18) à la Halle aux Blés le Dimanche 2 Avril 2017 Visible au salon Montluçon rétro bourse ( dép 03) les 08/09 Avril 2017 Vous pouvez prendre RDV à notre garage pour un essais sur route . Nous pouvons aussi importer d'autres véhicules du Brésil Dernière édition le 28/03/2017 à 14:37 par lesbellesauto, édité 1 fois |
| lesbellesauto | le mar 28 mars 2017 à 07:51
Encore un peu de SM.......................  .....    https://get.google.com/albumarchive/102386903540860217387/album/AF1QipOUFq6uUBrcEeqPFNt333bJaMoM_Q-g0gbtxXOs/AF1QipMy2LxhyrUHxyt8ShPsJ8rqlHjwbVvMIUMGD31s?authKey=CN-iz6zr68mlBw Si vous en voulez encore et en détail allez donc faire un tour sur ce lien  |
| lesbellesauto | le mar 28 mars 2017 à 14:34
Retour sur les deux dernières ventes "OSENAT"  ....   ....Résultat : 14400 €      ...Résultat : 6688 €.      .... Résultat : 4256 €Numéro de série 624207 Peugeot présente le modèle « 202 » en janvier 1938. C’est la toute nouvelle 6 cv, une catégorie très convoitée. Réduction du modèle 402, elle représente avec la 302, la période “ligne fuseau” de la marque au lion. La recherche aérodynamique est évidente avec sa ligne plongeante et ses phares positionnés derrière la calandre. Ces modèles ont remporté un vrai succès commercial et sont très caractéristiques de l’époque 1935. La mécanique est moderne avec un moteur de 1133 cc à soupapes en tête et culasse en alpax. La suspension est à roues indépendantes à l’avant. La vitesse de pointe est de 100 km/h et la consommation est contenue entre 7 et 8 litres au 100 km. Avec la guerre, les fabrications sont stoppées. A la reprise en 1946, c’est la 202 qui est remise en production. Jusqu’en 1949, c’est même le seul modèle de Peugeot. Le dernier exemplaire tombe des chaine en juillet 1949 pour laisser la place à la 203 qui roule déjà. La gamme de carrosserie du catalogue de la marque est assez complète et une version « canadienne » est même présente. Certain clients plus exigeants commande des châssis pour faire construire leur propre carrosserie à la demande. C’est le cas de la voiture présentée qui fut habillée par le carrossier Agathon. Cette ancienne carrosserie familiale, localisée 24 rue de Castères à Clichy, a fermé ses portes en 2010 après plus de cent ans d’activité. Agathon est notamment célèbre pour ses réalisations des véhicules spéciaux pour la caravane du tour de France. Les carrosseries break en bois prenaient le nom de « canadienne ». Plus tard ces mêmes carrosseries se dénommaient « break de chasse ». Leur première vocation est utilitaire que ce soit pour transporter du matériel ou des marchandises. Ces voitures entrent dans le « grande monde » pour la chasse car les fusils et les chiens peuvent y tenir sans problème. Le côté « boisé » de la carrosserie rapproche de la forêt et de la nature. Certaines Rolls Royce, Bentley, Delahaye, etc. ont reçu ce type de carrosserie. Cette Peugeot « break de chasse » ou « canadienne » est très différente de la version « usine ». Peugeot propose une version quatre portes latérales avec deux portes arrière alors qu’Agathon s’est éloigné de la version familiale pour réaliser une version à tendance « sportive » avec ses deux portes et son hayon légèrement incliné, c’est à n’en pas doute bien plus élégant et original. Jamais restaurée et entièrement d’origine, cette Peugeot 202 « break de chasse » n’a pas dû être fabriquée à beaucoup d’exemplaires, elle est peut-être même unique. Il existerait une Simca 8 portant une carrosserie proche de celle-ci. Historiquement elle fut immatriculée la première fois en 1947. La rubrique carrosserie est bien renseignée par «canadienne ». Après la mise en place du nouveau système des immatriculations, notre Peugeot fut réimmatriculée en 1954 et porte toujours le même numéro dans le Loir et Cher. Son titre de circulation fut muté en 1957 puis en 1978. Ce qui nous donne trois titulaires en considérant que c’est le premier qui la conserva jusqu’en 1957. Ce « break de chasse » Peugeot est une vraie rareté et nécessite évidemment des soins après des années de stockage. Mais son authenticité, son élégance et sa signature toucheront les amateurs de véhicules hors du commun rares et originaux. Une Peugeot « break de chasse » par Agathon ne se laisse pas passer….avis aux yeux aguerris !  .....   .....  .....    ....Résultat : 37200 €        ....Résultat : 10200 €A suivre Dernière édition le 28/03/2017 à 14:36 par lesbellesauto, édité 1 fois |
| lesbellesauto | le mar 28 mars 2017 à 17:22
  ....Résultat : 9600 €   ....Résultat : 3770 €  ....Résultat : 10336 €     ....Résultat : 6080 €20 000 - 35 000 € 1950 CITROEN TRACTION 15/6 Châssis n° 694832    30 000 - 35 000 € Résultat : 33600 € 1955 CITROEN TRACTION 15/6 OLEO Châssis n° 727596     12 000 - 15 000 € Résultat : 13200 € 1935 CITROEN TRACTION 7C Châssis n° 064114      15 000 - 20 000 € Résultat : 27600 € 1972 CITROEN SM Châssis n° SB6787   10 000 - 12 000 € Résultat : 12600 € 1964 RENAULT CARAVELLE Type R1133 Châssis n° 117955   1 000 - 2 000 € Résultat : 2040 € 1975 PEUGEOT 104 GLS Châssis n° 5300253  2 000 - 3 000 € Résultat : 2760 € 1981 PEUGEOT 104 Z Châssis n° 6000419  10 000 - 15 000 € Résultat : 9600 € 1984 ALFA ROMEO SPIDER 1,6l Châssis n° ZAR11535000006715 Carte grise française 65 744 kms   6 000 - 8 000 € Résultat : 11040 € 1982 MERCEDES BENZ 280 SL   1 000 - 1 500 € Résultat : 3480 € ROLLS ROYCE SILVER SHADOW Châssis n° SRH33448 A immatriculer en collection   1 000 - 1 500 € Résultat : 960 € 1978 PEUGEOT 604 Châssis n° 6572048 A immatriculer en collection    1200 & 1800€     3 000 - 5 000 € Résultat : 4200 € 1980 CITROEN CX 2400 GTI   8 000 - 10 000 € Résultat : 11552 € 1955 Allgaier Porsche A111 822 cm³ 12Ch   A SUIVRE |
| caravelle66 | le mar 28 mars 2017 à 18:18
une Caravelle 1100 de 1964 pour 12600€ avec plein de défauts     |
| I'll-be-back | le mar 28 mars 2017 à 23:16
Très beau reportage, Stéphane !!...  |
| I'll-be-back | le mar 28 mars 2017 à 23:24
The pict of the night by I'll be back... ... Et un bon gros V8 teuton comme on les aime... "Basée sur le coupé W107 SLC à empattement long, la 450 SLC 5.0 en est une évolution sportive. Allégée de près de 200 kg, grâce à l’emploi intensif de l’aluminium (bloc moteur, capot, coffre, jantes), elle a reçu en avant-première un nouveau V8 5L. de 240 ch. Destinée à chasser les Porsche sur les Autobahn, elle a été homologuée en GR4, et a marqué le retour officiel de la marque en compétition, avec des victoires au Rallye de côte d’Ivoire et au Safari Rally. Une version piste a même été mise au point par AMG pour LeMans."...      Caractéristiques techniques : Moteur Type V8 AV Cylindrée 5025 cm³ Puissance 240 ch à 5000 trs/min Couple 40 m/kg à 3200 trs/min Performances 0-100 km/h 7,00 s 0-160 km/h 17,00 s 400 M d.a. 15,00 s 1000 M d.a. 27,00 s Vitesse de pointe 240 km/h Consommation 18,00 l/100km Autres Cote ( état concours ) 40000 € Quantité produite 1636 Début de production 1977 Fin de production 1980 Dernière édition le 29/03/2017 à 12:55 par I'll-be-back, édité 2 fois |
| RAY2285 | le mer 29 mars 2017 à 16:45
ola Aujourd'hui, une SIMCA 1000 GL  une Citroen C3 TREFLE de 1923...  et une Peugeot 402 en attente de restauration   |
| clionrj | le mer 29 mars 2017 à 18:14
La 7C de 1935 mais cette couleur bleue |
| clionrj | le mer 29 mars 2017 à 21:07
https://www.youtube.com/watch?v=DhyvYN42j3o (Citroën Traction Avant, chaînes des Quais de Javel - YouTube)   YouTube - - |
| lesbellesauto | le mer 29 mars 2017 à 23:02
Citation de l'll-be-back : « Très beau reportage, Stéphane !!... »Merci Pascal et voici un ptit clin d'oeil qui devrait te parler   PHOTOS postées avec l'accord de la propriétaire qui trouveras peut être le temps de nous rende visite Citation de Caravelle66 : « Une Caravelle 1100 de 1964 pour 12600€ avec plein de défauts »Peux-tu nous en dire plus Clionrj,merci pour cette (longue) vidéo RAY2285 bonne journée je vois j'aime beaucoup la 402 dans son jus |
| passion203 | le jeu 30 mars 2017 à 07:36
Le forum 2017 commence à retrouver de sa superbe.... @l'Il-be-back, @lesbellesauto, @pat 7672 et les autres posteurs avec leurs belles photos, @clionrj nous revient avec sa richesse de connaissance sur les voitures, @203man apparaît de temps en temps pour nous faire un clin d'oeil... Bravo à tous ! Pour moi, personnellement qui va passer une année "blanche" à la maison, pas de sorties ni de rassos Donc, je me régale avec vos photos.... |
| lesbellesauto | le jeu 30 mars 2017 à 08:09
Bonjour Patrick voilà pour commencer ta journée Toujours pour la vente "OSENAT" du 19 mars https://en.wikipedia.org/wiki/Bond_Minicar (Bond Minicar - Wikipedia)   ....  .... ....  .... ....  .... ....  .... ....  ....  En France, le premier importateur DKW fût André Jullien sous la raison sociale France Union Automobile à partir des années 1950. En 1960, Mercedes rachète Auto Union et fait rare, nommera deux importateurs, France Union Automobile pour la France hors Paris et hors région parisienne et Charles Delecroix, l'importateur Mercedes pour Paris et la région parisienne. Mais le constructeur Mercedes, en fait peu intéressé par cette marque et ayant besoin de liquidités pour un gros investissement dans les poids lourds, revend Auto Union à Volkswagen en 1964. C'est à partir de cette période qu'arriveront les premières Audi. https://fr.wikipedia.org/wiki/DKW (DKW — Wikipédia)     4 000 - 6 000 € Résultat : 22200 € c1920 DFP TYPE A2000 TORPEDO Châssis n° 4288 Carte grise française Fondée en 1906 par Auguste Doriot, ingénieur chez Peugeot, et Ludovic Flandrin, venant de chez Clément-Bayard, la firme DF et Cie s'implante à Courbevoie en vue de produire des petites voitures monocylindres 1.1 litre dans une période de croissance de l'automobile. Rejoints en 1908 par les frères Alexandre et Jules-René Parant, qui apportent de nouveaux capitaux, la firme devient DFP : Doriot Flandrin Parant. En 1919, la Série 2000 est reconduite, avec trois modèles, 7 CV ( 1,1 litre), 10 CV (1,6 litre) et 12 CV (2 litres). Ces voitures ne disposent plus des moteurs DFP. La marque a fait appel à des motoristes extérieurs pour ses mécaniques. Ainsi, la 2000 7 CV et la 2000 12 Cv disposent de moteurs Alto, alors que la 2000 10 CV dispose d'un moteur Sergeant (puis American). Le modèle appartenant à Mr Migeon depuis 1955 est une 10 CV Torpedo 4 places en état d’origine. Cette DFP n’a jamais connu de restauration et se trouve en bel état de conservation. Les boiseries sont complètes et peu abimées, la capote d’origine est toujours là aussi. Le moteur, qui n’est pas bloqué, est complet mais nécessite une remise en route. Cette DFP donne une impression de mise en pause du temps, sa conservation est émouvante. Un joli livret d’époque DFP adressé au client sera donné avec la voiture.         A SUIVRE |
| lesbellesauto | le jeu 30 mars 2017 à 08:52
Si vous passez par l'Allier   ou par Romorantin Les premières voitures américaines en terres Matra  Il faudra encore patienter jusqu'au 6 avril pour que le voile se lève sur l'exposition « C'est l'Amérique au musée Matra », dans le musée éponyme de la ville. En attendant, en coulisses, les belles Américaines ont commencé à prendre place, de même que les motos et la décoration couleurs US, de la nouvelle exposition temporaire de Matra. En début de semaine, on a ainsi vu arriver une Studebaker de 1956, une Cadillac coupé Deville 1955 et une Ford Thunderbird de 1962, en direct du Mans. Les autres starlettes américaines vont progressivement prendre place dans la grande salle du musée de la rue des Capucins en cette période de commémorations du centenaire de la présence de l'armée américaine dans le Romorantinais et la vallée du Cher. |
| lesbellesauto | le jeu 30 mars 2017 à 14:41
.... SUITE mais pas FIN  ....  40 000 - 50 000 € Résultat : 51600 € 1965 VOLVO P 1800 S Châssis n° 15545 Carte grise de collection Si une célèbre série TV (« Le Saint ») a donné un rayonnement international aux coupés Volvo P1800, le succès rencontré par cet élégant coupé suédois n’est pas uniquement due à Simon Templar. Son esthétique, son charisme, ses performances au fil des millésimes finiront d’inscrire pleinement les Volvo P1800 coupés dans l’histoire des automobiles dignes d’être conservées dans sa collection. Nous avons grand plaisir à vous présenter un splendide coupé P1800 S tout juste sorti de restauration. Cette automobile est à couper le souffle tellement le travail engagé et sa qualité d’exécution sautent aux yeux. Arrivée des US il y a un peu plus de 2 ans, elle fut directement prise en main par un passionné qui n’en ai pas à son coup d’essai, et débute une sérieuse restauration. La caisse est mise totalement à nue, décapée, reprise à certains endroits critiques et apprêtée avec un apprêt époxy, puis peinte dans les règles de l’art. Les trains roulant et les freins sont remis à neufs, le moteur est ouvert et reconditionné. Désireux d’utiliser sa voiture régulièrement avec confort, son propriétaire fait monter une assistance de direction électrique à compensation en fonction de la vitesse, ainsi qu’un ensemble Hi-Fi/GPS discret, comprenant une caméra de recul logée sous l’éclairage de plaque, très pratique dans les sorties urbaines. L’intérieur est refait à neuf par un sellier et le tableau de bord est restauré comme à l’origine. Il est important de souligner que toutes les pièces remontées sur cette voiture sont des pièces d’origine Volvo, pour un total de plus de 24 000 € ! Toutes les étapes de la restauration sont parfaitement détaillées dans un dossier compilant photos et factures, de quoi se rendre de compte de la qualité du travail effectué. Sortie du garage fin 2016 avec un compteur affichant 0 kms, elle n’en a parcouru que 200 depuis. C’est certainement la plus belle Volvo P1800 S qu’il nous ait été donné de présenter, figurant aujourd’hui comme une valeur montante des automobiles mythiques à collectionner. Et rappelons-le, c’est le modèle qui détient encore le record du monde du plus grand nombre de Kms parcouru avec son moteur d’origine, à New-York, avec plus de 4 millions de Kms…et elle roule encore !   1933 RENAULT Type KZ11 Châssis n° 617537 Carrosserie : Taxi G7 Moteur à 4 cylindres Puissance fiscale : 11 cv Carte grise française C’est en avril 1933 que la Compagnie G7 lance dans les rues de Paris un nouveau taxi qui sera exploité dans la capitale jusqu’en 1950, et qui reste dans la mémoire des parisiens comme l’archétype du taxi. La Compagnie française des Automobiles de Place (Autoplace) plus connue sous le nom de G7, et dont Renault était actionnaire avait commandé 1 878 exemplaires de ce célèbre modèle construit sur châssis Vivaquatre, 3ème série, type K II. La Compagnie générale des voitures, la G3 et la Métropole, la G2 en commandèrent aussi ; d’autres furent achetées par des artisans et des exploitants de villes en province ou à l’étranger, ce qui fait que l’on estime à 2 400 le nombre de ces voitures produites par Renault. Le compartiment voyageur comporte une banquette à 2/3 places, et 2 strapontins en vis-à-vis. Ce compartiment était équipé d’un toit ouvrant : il était habillé d’un velours gratté or très caractéristique, séparé par un panneau et des glaces coulissantes du compartiment chauffeur. Celui-ci comportait le siège du conducteur et un strapontin : la porte se repliait pour pouvoir rouler ouverte et transporter des colis encombrants. Cette automobile a été achetée par Mr Cocheteux en vente aux enchères en 1990. Elle est remarquablement conforme au modèle d’origine, et a fait l’objet d’une restauration en 1990. ....  ....   .... 25 000 - 30 000 € 1923 DELAGE DI TORPEDO Châssis n° 13897 Ex - M Delage Carte grise française Louis Delage, ingénieur des Arts et Métiers, se lance dès 1905 dans la fabrication d'automobiles en utilisant le moteur De Dion comme tant d'autres. Dès le début, il s'oriente vers la compétition et se forge une belle réputation en très peu de temps. L'apparition des 6 cylindres, la qualité de fabrication et le positionnement commercial de la marque tirent Delage vers le haut de gamme. En 1921, c'est l'ingénieur Charles Planchon, un Gad'zart d'Angers, qui étudiera la toute nouvelle 11HP Delage, le type DE. C'est une voiture bien née, avec ses quatre roues freinées et sa boîte de vitesses à 4 rapports + MA accolée au moteur, elle a tout des grandes voitures ! En 1923, on la verra même au départ de la première édition des 24 heures du Mans. Mais dès le 8 août 1923, Louis Delage annonce à tout son réseau qu'il ne prendra plus de commandes de la 11 HP type DE car sa remplaçante est opérationnelle et plus moderne, c'est la DI. Ce nouveau modèle présente un moteur avec les soupapes en tête et un vilebrequin sur cinq paliers au lieu des soupapes latérales et des trois paliers. Plus coupleux, plus puissant, il est plus agréable à utiliser. Le moteur présentait à ses débuts quelques tares qui ont été vite corrigées et le modèle DI deviendra un très grand succès pour la marque. Ce beau Torpedo 4 places fut acquis par Monsieur Cocheteux en 1984, restauré quelques années auparavant. Il se trouve quasiment dans le même état qu’à cette date : la sellerie et les boiseries sont superbes. La mécanique est tournante mais nécessite une remise en route. Il s’agit d’un 4-cylindres en ligne de 2 120 cm3 d’une puissance de 32 CV, distribution à soupapes en tête, alimenté par un carburateur Zénith à triple diffuseur. La direction est positionnée à gauche, ce qui est plutôt rare, la plupart des Delage ont la direction à droite mais en fait c'était au choix du client. Elle est équipée de deux pare-brises rabattables et d’une capote en parfait état. La voiture a été achetée à Mr Delage qui la possédait depuis 1974. Elle a également remportée de nombreuses coupes : 2ème au Paris Deauville en 1984 ; 3ème prix au Paris Ile de France en 1985 ; 1er Prix à Dreux en 1985 ; 1er Prix à Champagne sur Oise en 1986 ; 3ème Prix à Feucherolles en 1986 ; 1er prix à Enghien en 1988 ; 1er Prix à Chanteloup en 1991 ; 1er Prix à Rambouillet en 1991… Elle a également tournée dans le film de Jean Galmot « L’Aventurier ». ....    120 000 - 160 000 € Résultat : 324000 €  1932 CHRYSLER IMPERIAL CUSTOM Type : Eight N° de série 7803694 Carrosserie : Cabriolet par De Villars Moteur à 8 cylindres en ligne Puissance fiscale : 36 cv Carte grise française Depuis la fondation de la firme en 1923, chaque modèle nouveau de Chrysler créa une véritable sensation, influençant très sensiblement l’ensemble de la construction américaine, sinon mondiale. Chrysler fut par excellence, de 1923 à 1930, le champion de la six-cylindres rapide, silencieuse, souple, puissante, freinant bien grâce grâce à ses freins hydrauliques et de surcroît, d’une extrême élégance. Le modèle Imperial naquit du succès même de la firme, au moment où, en 1926, la clientèle désira une « super-Chrysler ». La réponse vint avec le modèle « 80 », dont le règne dura jusqu’en 1930. Puis, Chrysler aborda le domaine du 8-cylindres avec deux modèles de même technique mais de puissances différentes : le type « 8 », 5 litres de 100 CV et le type « Imperial » de 6,3 litres et de 125 CV. Ces voitures remarquablement construites étaient d’une grande beauté classique, équipées d’un très long capot, un radiateur en coupevent et d’un petit pare-brise. L’Imperial fut souvent habillée de carrosseries magnifiques signées par Locke, Le Baron ou Dietrich et enfin, pour une seule et unique privilégiée, De Villars. Frank Jay Gould, milliardaire américain, décide en 1925 de créer une petite entreprise de carrosserie pour les voitures de ses compatriotes résidant en France. Il nomme son gendre Roland De Graffenried De Villars comme responsable qui donna son nom à l'entreprise. Charles Guignedoux en fut rapidement le directeur. La production de la société fut limitée, pratiquement toujours des pièces uniques, et privilégia les longs châssis de prestige appréciés de la clientèle fortunée : Delage, Hispano-Suiza, Minerva, Renault. Auteur de quelques chefs d'oeuvrede la carrosserie française la petite entreprise ne survécut pas après la seconde guerre mondiale, les locaux furent repris en 1945 par Jean DANINOS qui créa Facel Vega. Monsieur Cocheteux fit l’acquisition de ce modèle unique en 1991 à Monsieur Pierre Sangusko, membre d’une grande famille de la noblesse princière Polonaise. A son volant et accompagné de son épouse, ils participent à de nombreux concours d’élégance et expositions. Voici quelques lignes de son palmarès : - 1992 Enghien, Villennes, Mantes-laJolie : 1er prix - 1995 Andresy : 1er prix - 2000 Vésinet : 1er prix Actuellement en très bon état de conservation, ce magnifique cabriolet 4 places à la ligne sportive et élégante possède bien ses attributs typiques du carrossier De Villars : les ornements de pare-brise en losanges et le petit pare-brise ne laissent aucun doute. Monsieur Cocheteux roulait régulièrement avec sa Chrysler et l’entretenait soigneusement. Elle est équipée de 6 pneus quasi-neufs d’une sellerie en très bel état ainsi que sa capote. La mécanique est tournante mais nécessite une révision. Les vitesses passent correctement et le freinage semble correct. Un réglage de dureté des amortisseurs à friction est toujours présent et fonctionnel, actionné par deux grosses mollettes du côté gauche en bas du tableau de bord ; une innovation pour l’époque. Il est très rare de trouver une voiture américaine carrossée par un carrossier français, cette Imperial Custom fait figure d’exception !      120 000 - 150 000 € c1935 AUBURN Type 851 SC N° de série : 33195F Erreur sur la carte grise n° 3087L Moteur N° GH 4437 Puissance fiscale : 38 cv Erreur sur la carte grise : 18 cv Carte grise française Cette automobile Auburn est sortie d’usine vers 1935. Il s’agit d’un Cabriolet 851 Supercharged. La firme Auburn fut fondée en 1900 et elle est devenue indissociable avec les Cord et les Duesenberg car ces trois types de voitures furent réputées surtout pour leur luxe et elles étaient les plus grandes concurrentes des Cadillac et des Packard. Errett Lobban Cord, jeune manager ambitieux et bouillonnant d'idées, devint président et propriétaire de la firme Auburn en 1926. À partir de ce moment, les Auburn devinrent des voitures nées directement de l'imagination de Errett L.Cord, en correspondant exactement à ses propres souhaits. Les carrosseries les plus en vogue étaient les Cabriolet, Phaeton et Speedster. Les Auburn partageaient avec Cord et Duesenberg le caractère sportif et l'élégance des carrosseries. Les Auburn 8 cylindres furent fabriquées à 28 000 exemplaires. Les magnifiques Auburn " Supercharged " furent le chant du cygne de la marque et 500 exemplaires seulement furent fabriqués de 1934 à 1936. Ce qui en fait un modèle recherché aujoud’hui par les collectionneurs. Cette automobile possède un parebrise rabattable. Son moteur est le traditionnel 8 cylindres en ligne avec culasse Lycoming de 280 ci. Elle possède un compresseur centrifuge « Schwitzer-Cummins » et l’alimentation se fait par un carburateur Stomberg. La culasse est en aluminium. Les freins sont à tambours à commande hydraulique. Le pont est démultiplié pour 2 x 3 vitesses avant et une marche arrière. Son extraordinaire tableau de bord a encore sa rodio d’origine en état de marche. La peinture est de couleur ivoire et sa sellerie est en cuir gold. Mr Cocheteux l’a acheté lors d’une vente aux enchères le 2 juin 1985. Elle avait été restaurée en 1979 et avait obtenu le 1er prix au concours d’élégance de la Coupe de l’Age d’Or de Monthléry. Depuis, elle s’est illustrée en remportant plus de 15 prix et a également tourné dans le film de Claude Lelouch « Itinéraire d’un enfant gâté » avec Belmondo et dans « La Rumba » de Roger Hanin.    A SUIVRE.................................... |
| I'll-be-back | le jeu 30 mars 2017 à 20:40
Hou là !... Stéphane est littéralement déchaîné quand d'autres sont juste enchaînés !...   (photos du Net) Des reportages très intéressants, le prix de vente final ajoutant encore à l'intérêt de l'ensemble !!... Poursuivons tranquillement la diffusion des "picts of the night" by I'll be back, en attendant la venue d'un week-end sans doute très... riche en la matière...     |
| pat7672 | le jeu 30 mars 2017 à 21:43
La frégate Taxi a changé d'immatriculation depuis que je l'ai vue. Changement de proprio ou d'adresse ? |
| I'll-be-back | le jeu 30 mars 2017 à 22:23
Patrick, j'évite de me focaliser sur les immatriculations... |
| passion203 | le ven 31 mars 2017 à 10:41
Citation de I'll-be-back : « Patrick, j'évite de me focaliser sur les immatriculations... »Tu as raison, faut pas mélanger le boulot et les loisirs.... @I'll-be-back |
| lesbellesauto | le ven 31 mars 2017 à 16:43
Bonjour à tous superbe cette Frégate Fais attention Patrick,c'est toi qui va finir avec les chaines Retour sur la vente "OSENAT"   18 000 - 22 000 € Résultat : 30600 € HARLEY DAVIDSON Type JD N° 9 785 Avec Side-Car Carte grise française Possession depuis 1976 Moteur non bloqué Immatriculation : 695 KW 58 Mise en circulation : 1933  8 000 - 12 000 €Résultat : 17400 € INDIAN Type Chief N° de série : GDA 12282 à immatriculer en collection Moteur non bloqué Immatriculation : 565 DG 58  18 000 - 22 000 €Résultat : 32400 € VELOCETTE Type Truxton N° de série : RS 198 74 Carte grise française Possession depuis 1980 Moteur non bloqué Immatriculation : 783 MF 74 Mise en circulation 1969  ....40 000 - 60 000 €Résultat : 108000 € 1903 CLEMENT Voiturette type B n° 941 Moteur n° 168 A immatriculer en collection Il est fort de constater que lorsque les collectionneurs ont déjà acquis de nombreuses « classiques », ils se mettent à remonter dans le temps et à acquérir une culture automobile. Leur perception des choses change et la recherche se recentre sur l’origine. L’origine des sens, la recherchede nos ancêtres, l’origine de la vie automobile ! Cette automobile Clément, baptisée « Clémentine » par sa famille représente aujourd’hui le « grâle » de ces collectionneurs. Pourquoi ? Imaginez la durée et l’atrocité de la Grande Guerre environ dix millions de civils et militaires sont morts et environ vingt millions ont été blessés, des dégâts colossaux. 21 ans plus tard, la seconde guerre mondiale le conflit armé le plus vaste que l’humanité ait connu. La somme des dégâts matériels n’a jamais pu être chiffrée de façon sûre, mais il est certain qu’elle dépasse les destructions cumulées de l’ensemble des conflits connus par le genre humain depuis son apparition. « Clémentine » est une survivante ! D’où vient-elle ? La société Adolphe Clément fut une très célèbre firme fondée lors du début de l’automobile elle avait déjà fait fortune auparavant dans la production de bicyclettes et de pneus. En 1890, Adolphe Clément devient le premier fabricant de cycles français (devant les cycles Peugeot), puis, en 1891, il acquiert la licence de fabrication du pneumatique Dunlop et le fabrique dans un nouvel atelier quai Michelet à Levallois Perret. La première fabrique d’automobiles, dans laquelle Adolphe Clément eut les intérêts, fut Gladiator et les premières voitures produites par cette firme eurent pour nom Clément-Gladiator ou Clément tout court. En 1899, deux voitures différentes portèrent le nom de Clément. L’une était une petite voiturette équipée d’un moteur De Dion de 2.25 CV monté à l’arrière et entraînant l’essieu arrière. L’autre modèle était la Clément-Panhard, conçue par le commandant Krebs de la société Panhard-Levassor (société dont Adolphe Clément était directeur) mais que Panhard ne fabriqua pas. Fin 1901, Clément fabriqua des voiturettes à moteur à l’avant, conçues par Marius Barbarou ; elles étaient équipées d’un moteur monocylindre de 7 CV, ou bicylindre de 12 CV, avec entraînement par arbre. En 1903, la gamme comprenait des voitures de 9, 12 et 16 CV, les deux dernières étant des 4 cylindres avec soupapes d’admission mécanique. Après 1903, les voitures qu’il construisit dans son usine de Mézières s’appelèrent Clément- Bayard. A cette époque, les Clément et les Gladiator étaient fabriquées dans la même usine. En octobre 1903, Adolphe Clément quitta le groupe Clément-Gladiator et ne donna plus à ses voitures le nom de Clément qu’il changea pour Clément-Bayard en l’honneur du chevalier Bayard, un héros du XVIe siècle qui, en 1521, avait sauvé la ville de Mézières. Mais revenons à Clémentine, un modèle exceptionnel d’authenticité. Son châssis (en bois !) est dans un état parfait, ses roues d’origine également. Son moteur d’origine est complet, bien que son carburateur soit un peu plus moderne. Mais rassurez-vous son carburateur « Bayard » d’origine a été retrouvé dans les dépendances de la propriété du Gers, qu’elle n’a jamais quitté. Il est très émouvant de découvrir un chef d’oeuvre de l’automobile. Clémentine est une authentique oeuvre d’art à admirer autant qu’un tableau de maitre !   ....150 000 - 200 000 € Résultat : 156000 € 1922 SALMSON AL3 GSS Course Châssis, moteur, boite à vitesses, pont : n°463 4 cylindres en ligne – 2ACT 1090 cm3 : 62 x 90 Poids : 350 kg Pneus : 710 x 90 Carte grise française TRIUMPH fabriquait des vélos, NSU des machines à coudre, PEUGEOT des moulins à café, Henry MORGAN dessinait des locomotives à vapeur…Emile SALMSON a commencé par fabriquer des moteurs à gaz, des pompes, puis des moteurs d’avion pendant la 1ere guerre mais mourut en 1917. Ses fils abandonnent ce qui est à l’époque une société florissante. Les actionnaires décident alors de convertir une partie des usines, qui vont forcément ralentir du fait de la fin de la guerre, à la construction d’automobiles. SALMSON commence prudemment et par l’intermédiaire d’André LOMBARD, acquiert la licence de fabrication de cycles-cars anglais GN (Godfrey-Nash) avant d’investir dans la conception et la fabrication d’un modèle 100% de la marque. Les cycles-cars sont l’émanation logique des avions : construction légère, moteur performant, confort spartiate. Ils sont le symbole de la liberté retrouvée et de la joie de vivre. Ils bénéficient d’une fiscalité avantageuse mais ils doivent peser moins de 350kg à vide, n’avoir que 2 places et leur moteur ne doit pas excéder 1100 cm3. Des moteurs légers et puissants : SALMSON sait faire ! L’ingénieur Emile PETIT, embauché à cette occasion a Benoist sur une Samlson AL 3 GSS des idées géniales. Premiers modèles SALMSON : les AL3 (AL pour André Lombard) qui sont des cycles-cars, et les VAL3 des voiturettes dont la règlementation est différente. Ils sont motorisés par des moteurs à monoculbuteur car la même came commande la soupape d’échappement et celle d’admission par l’intermédiaire de ressorts. Les AL sont des voitures de série. Affublées du suffixe GS, ce sont des « Grand Sport » à la puissance augmentée grâce à une distribution par 2 ACT et boîte à 3 rapports accessibles aux clients sportifs. Les GSS « Grand Sport Spécial » sont réservées aux vrais pilotes avec boîte à 4 vitesses. En 1921 en course, les SALMSON utilisaient la base GN dont elles étaient issues mais en 1922, changement de programme avec des AL3 GSS modifiées : moteur maison à 2 ACT (Arbre à Cames en Tête), suspension à ressort semi elliptique à l’avant, semi cantilever à l’arrière, carrosserie de forme torpille… Le modèle AL3 GSS modifié « course » se couvre de gloire grâce notamment à Robert BENOIST, pilote d’aviation durant la Grande Guerre, puis pilote de course. Il remporte avec ce type de voiture en 1922, les 200 Miles de Brooklands, le Grand Prix de l’Union Motocycliste de France au Mans … Les succès s’enchainent : Trophée ARMANGUE à Tarragone, Côte de Gaillon, GP de Boulogne... La voiture AL3 GSS, carrossée «course» que nous présentons, réapparait en janvier 1965 au musée du Mans qui la conserve sans y avoir touché jusqu’en 1992. Un document du conservateur attestant cette provenance est présent dans le dossier. En 1994, l’actuel propriétaire tombe alors en extase devant l’ensemble châssis complet et mécanique en place mais sans la carrosserie. Pendant plusieurs années il est en quête d’informations et de pièces dans le but de revenir à la version « course » des AL3 GSS dont sa dernière acquisition possède bien toutes les spécificités de celles qui ont couru en 1922. (Boite 4 sur paliers bronze 1ere génération, embrayage à cône à carré d’entrainement, petits tambours de freins, volant amovible pour permettre l’accès au pilote et au mécanicien). Sur ce modèle il y a des freins avant qui n’avaient pas été montés sur les voitures qui ont participé au GP de Boulogne en juillet, de l’UMF en septembre 1922 remporté par R. BENOIST. Les freins avant apparaissent plus tard dans la saison lors du Trophée ARMANGUE courut en octobre 1922 en Espagne. A noter que les AL3 GSS en fonction des courses disputées étaient munis ou non de l’essieu freiné avant. Cela pouvait être un poids mort pénalisant ! Son châssis, du type « bouteille » est plus large à l’arrière qu’à l’avant pour loger le pont et abaisser les sièges du pilote et du mécanicien. Le type de montage des lames de ressort semi-cantilever arrière rappelle celui utilisé sur les « GP San Sebastian 1926 » permettant ainsi d’abaisser l’ensemble. La carrosserie a été refabriquée en respectant à la perfection la forme obus de l’époque sans oublier les 2 reposes têtes sur la pointe arrière. En 1922 la première série des 4 carrosseries produites possédaient seulement deux écopes sur l’avant des panneaux du capot moteur pour améliorer le refroidissement. Cette automobile est conforme à ce premier modèle ayant couru le GP de Boulogne en juillet 1922. Très rapidement ce type fut modifié en ajoutant des ouïes de ventilation afin d’améliorer le refroidissement, y compris celui de l’habitacle. La grille pare pierre basculante, pour protéger le pilote, est en position « relevée » sur nos photos mais elle peut être rabattue comme sur la photo d’époque. Notons que sur cette automobile, les arbres à cames ont les « bonnes » caractéristiques d’ « avance » et de « retard », ces données n’ont rien à voir avec les moteurs GSS classiques qui étaient de 10° et 35°. Avec une avance à l’allumage de 40°, et des pistons très bombés, les performances sont au rendez-vous. Le bloc moteur a été ressoudé mais aucune séquelle décelable, il marche formidablement bien. Les 2 carburateurs en bronze sont dotés de filtre à air amovibles, (par prudence). Magnéto SEV. 2 phares avant, feux arrière doté d’un feu stop, ainsi qu’un ventilateur électrique ont été ajoutés pour permettre une utilisation urbaine et nocturne. Graissage sous pression des arbres à cames par une « araignée » est bien celui d’époque. A noter que le palier avant du vilebrequin est lubrifié aussi sous pression grâce à une tubulure interne supplémentaire qu’on ne retrouve pas sur les autres moteurs AL3 GSS. Les pignons de distribution sont eux aussi lubrifiés, c’était le point faible principal de ce moteur. Peut-être que cette amélioration avait été apportée pour favoriser la fiabilité en vue de courses d’endurance. Sachant que des AL3 GSS ont couru les 24 Heures du Mans en 1923, 1925 et 1926 il n’est pas impossible que ce moteur avec cette spécificité de lubrification provienne de la série spéciale préparée pour cette course. Le vilebrequin est un « 2 paliers », embrayage à cône avec entraînement par carré. Le rapport de pont est 12/48. L’usine adopta en course un pont 12/45 afin de « tirer » plus long. Pour avoir essayée cette voiture nous pouvons certifier que la vitesse de 107 km/h a été atteinte (relevée grâce à un compteur moderne) sans angoisse. Son propriétaire a déjà atteint les 132 km/h. Attention tout de même à tenir compte de longues distances de freinage, et encore cette automobile a des freins à l’avant ! Côté performance cette voiture a eu le privilège de participer à la rétrospective des 110 ans de Gaillon en Normandie en 2009 avec le numéro 1, aux côtés d’une AC 1500 cm3. Les performances de l’époque ont été reproduites, SALMSON est toujours devant. Pour finir relatons l’entrevue du propriétaire avec la petite fille de Robert BENOIST en 2009. L’émotion était à son comble et les larmes de joie se mêlaient aux bulles de champagne. Robert BENOIST après d’innombrables succès en course a été un extraordinaire résistant jusqu’à sa capture par les allemands en 1944. Il n’est jamais revenu de Buchenwald. (H.PLUTON)  ....     10 000 - 15 000 €Messerschmitt replica by tritech,125cc(kité 200),2tps,4 vitesses,cg type tm,2pls,1cv,de 1981(donor car),echappement abarth,compteur ne fonctionne pas,sinon tout marche,feux phares et cligno ok Eh bien voilà c'est terminée pour cette vacation,j'espère que vous aurez eu autant de plaisir à regarder les photos et même peut-être a lire les explications que moi à les partager @l'll-be-back @passion203 |
| passion203 | le ven 31 mars 2017 à 17:40
Citation de lesbellesauto : «Fais attention Patrick,c'est toi qui va finir avec les chaines @l'll-be-back @passion203 » Je pourrais aimer cela....  @lesbellesauto |
| lesbellesauto | le ven 31 mars 2017 à 17:48
Désolé pour les motos postées plus haut.............................   ............ moi Patrick c'est plutôt ça mon style   Quand Paris décide de démolir son phare breton... http://img.20mn.fr/-Mg2zMDyRBOIWnSxSUj_FA/960x614_phare-paris-situe-rue-castagnary-xve-demoli-survit-google-maps  Le phare de Paris, situé rue Castagnary (XVe) a été démoli. Il survit sur Google Maps. — Google Maps L’unique phare de Paris a été démoli. Le Gwenn ha du (drapeau breton) qui y trônait a été descendu. Vous ne le saviez peut-être pas, mais la capitale française possédait son propre phare, implanté rue Castagnary, dans le XVe arrondissement. Construit dans les années 90, l’ouvrage surplombait une poissonnerie, aujourd’hui fermée. Pour récupérer le foncier, la ville de Paris a donc décidé de démolir le phare et le bâtiment se trouvant à ses pieds, comme le rapporte Le Parisien. La municipalité souhaite y construire une résidence sociale de 251 studios pour étudiants, jeunes travailleurs et travailleurs migrants, ajoute le quotidien. Une réplique du phare du Croisic Ce phare, réplique du phare du Croisic (Loire-Atlantique), aurait été construit à la demande du patron de la poissonnerie « Le Samouraï des mers », qui « voyait passer son millier de clients par jour », selon Le Parisien. Situé au bord des rails menant à Montparnasse, le phare aurait pu être remplacé par des jardins partagés et un marché couvert, comme le souhaitaient des riverains. La ville en a décidé autrement.  @passion203 |
| I'll-be-back | le ven 31 mars 2017 à 20:42
Bonsoir. Hou là ! Ca fait beaucoup de texte à lire, là !!... Ce soir, pour the picts of the night by I'll be back, je vais me limiter aux seules... images...   Une Juva4 à ne pas stationner n'importe où ... Dernière édition le 31/03/2017 à 20:44 par I'll-be-back, édité 1 fois |
| lesbellesauto | le sam 1 avril 2017 à 07:21
Bonjour à tous C'est l'heure du petit dej,apportez moi la Juva de l'll-be-back bientôt sur vos écran.......................OSENAT juin 2016 avec beaucoup de retard   ........700 - 900 €Résultat : 868 € « HOHM Models » Grande maquette d’apprentissage pour auto-école, fabrication allemande. Ecorché du premier type à carrosserie ponton, structure métallique avec châssis en U, laissant apparaître les différents éléments mécaniques et leur fonctionnement, système électrique, monté sur un socle en bois avec panneau de commande Accident et manques. Long. : 107 cm.     ....850 - 1 000 €Andy WARHOL ( 1928-1987) « Art Car Museum Edition » - « BMW M1 Group 4-1979- Art Car. » Maquette à l’échelle 1/18ème, édition limitée. Représente la BMW M1 peinte par l’artiste, aux 24 Heures du Mans 1979 qui termina 6ème du général et 2nd de leur classe. Vendue avec sa vitrine, son fascicule et sa boîte d’origine. Dernière édition le 01/04/2017 à 22:31 par lesbellesauto, édité 1 fois |
| I'll-be-back | le sam 1 avril 2017 à 08:44
Citation de lesbellesauto : « Citation de l'll-be-back : « Très beau reportage, Stéphane !!... »Merci Pascal et voici un ptit clin d'oeil qui devrait te parler PHOTOS postées avec l'accord de la propriétaire qui trouveras peut être le temps de nous rende visite » Ah ben oui, là c'est le Tour du Limousin avec bal des anciennes à Limoges... C'est désormais un peu loin pour moi, mais je n'ai guère perdu au change quand même... question bagnoles en tout cas... |
| I'll-be-back | le sam 1 avril 2017 à 08:49
... Mais mon ami Colargol87 y était pour moi...     |
| passion203 | le sam 1 avril 2017 à 22:08
On a trouvé une 203 qui aurait appartenu à Henri Salvador...  |
| Mr.Ele | le sam 1 avril 2017 à 22:15
Elle a même pas l'air trop abîmée |
| passion203 | le dim 2 avril 2017 à 01:53
Je suis désolé Mr Ele, mais je n'ai pas pu y résister....  Dernière édition le 02/04/2017 à 01:54 par passion203, édité 1 fois |
| Mr.Ele | le dim 2 avril 2017 à 08:56
|
| I'll-be-back | le dim 2 avril 2017 à 14:50
Même présentation que pour RETROMOBILE 2017, je vous propose un petit déroulé d'un rendez-vous annuel majeur à LE MANS cette fois, sans Aston-Martin ni Mercedes 300 SL , mais avec un certain nombre de belles anciennes françaises et étrangères dont la vision devrait satisfaire le plus grand nombre ici... Nous voici donc à :  Petit panorama extérieur pour débuter...   1- Constructeurs français : 11- Alpine     Dernière édition le 02/04/2017 à 17:02 par I'll-be-back, édité 3 fois |
| I'll-be-back | le dim 2 avril 2017 à 15:07
12- CITROEN :            |
| I'll-be-back | le dim 2 avril 2017 à 15:09
            Dernière édition le 02/04/2017 à 18:07 par I'll-be-back, édité 2 fois |
| I'll-be-back | le dim 2 avril 2017 à 15:11
Citation de I'll-be-back : « Toutes photos : I'll be back, 2017/04 à ...                       » |
| I'll-be-back | le dim 2 avril 2017 à 15:12
Citation de I'll-be-back : « Photos : I'll be back, 2017/04 à...          » |
| I'll-be-back | le dim 2 avril 2017 à 15:14
Citation de I'll-be-back : « Toutes photos : I'll be back, 2017/04        ...And last but not least...   » |
| I'll-be-back | le dim 2 avril 2017 à 15:16
A suivre avec... Peugeot... |
| passion203 | le dim 2 avril 2017 à 15:34
Notre ami @clionrj pourra nous en dire plus sur les tractions.... |
| clionrj | le dim 2 avril 2017 à 16:16
Ben les Traction bi-colores me font sourire, pour une voiture dont la palette de couleurs s'est limitée au noir (gris irisé plus précisement) jusqu'en 1954, et qui a finit sa carrière avec un choix de 4 couleurs  |
| I'll-be-back | le dim 2 avril 2017 à 19:35
C'est vrai, c'est confondant, ça !!... Je me demande pourquoi je me fais encore ch... à les prendre en photo... Cela étant, les cab' bicolores on me les donnerait que je ne cracherais pas dessus comme le renard de La Fontaine sur les raisins... Dernière édition le 02/04/2017 à 20:35 par I'll-be-back, édité 2 fois |
| clionrj | le dim 2 avril 2017 à 19:48
C'est sans doute à cause de la tristesse de la palette des couleurs proposée par la maison du Quai de Javel que les propriétaires de Traction se mettaient à les repeindre de façon souvent fantaisiste |
| thie7895 | le dim 2 avril 2017 à 23:24
Car Entr'aid Amiens 2 avril 2017   |
| RAY2285 | le lun 3 avril 2017 à 07:42
HELLO Pas de belles ce weekend...Juste une photo d'une Rosalie trouvée dans un carton de vieilles photos lors d'un vide grenier... Ce qui m'intrigue, c'est l'immatriculation !!????   |
| clionrj | le lun 3 avril 2017 à 07:59
C'est une immatriculation d'avant 1950 |
| RAY2285 | le lun 3 avril 2017 à 09:14
HELLO clionrj Merci... |
| I'll-be-back | le lun 3 avril 2017 à 20:37
Très jolie cette Ros(e)ali(n)e... Je vous propose de retourner à... Toutes photos : I'll be back 13- Peugeot                                  Dernière édition le 06/04/2017 à 20:46 par I'll-be-back, édité 1 fois |
| I'll-be-back | le lun 3 avril 2017 à 20:39
Citation de I'll-be-back : « Suite...       »Citation de I'll-be-back : « Toutes photos : I'll be back, 04/2017        http://www.club604.com/ (Club 604 International) » Dernière édition le 03/04/2017 à 20:41 par I'll-be-back, édité 1 fois |
| passion203 | le lun 3 avril 2017 à 20:49
Pascal (@l'Ill-be-back), tu m'as fait plaisir ce soir.... Un festival de joyaux ! 203, 403... Dernière édition le 03/04/2017 à 20:50 par passion203, édité 1 fois |
| I'll-be-back | le lun 3 avril 2017 à 20:55
J'aime faire plaisir, Patrick... |
| I'll-be-back | le lun 3 avril 2017 à 21:02
... Et demain Renault, avant Simca, très présent sur ce salon... |
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